Comme il n'y a plus de place dans le post principal du rp, on met quelques éléments ici. Ce post n'est évidement pas un rp et n'attend donc aucune réponse, il s'agit d'un topic en plus pour Le Troisième dragon. Voici les informations que vous trouverez dans ce complément :
Le bestiaire d'Argeya
Le recensement des espèces draconiques
Bestiaire d'Argeya
Spoiler:
En plus de la faune "basique" que l'on peut trouver sur terre, l'île recèle aussi d'autres bêtes. Depuis la prise aux pouvoirs du roi et de ses années de paix, certains livres sont dorénavant ouvert au public tel que le Bestiaire. Il répertorie les monstres aperçus et analysés mais les chercheurs et les scientifiques ont bien consciences qu'ils n'ont sûrement pas tout vus et qu'il y a encore beaucoup de monstres encore inconnus. Le Bestiaire se décompose en plusieurs parties.
Bestiaire
Monstres Marins :
Sirènes Description : Créatures ailés, en peau et membrane, nageant dans l'eau et se sentant aussi à l'aise dans les airs. Elles sont dans un premier temps très attirantes et sensuelles mais se montrent affreuses et monstrueuses une fois leur proie ferrée. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Sont assez rependues dans les eaux de la source aux Ondines. On en trouve aussi quelques unes sur les récifs des mers.
Mégalodon Description : Si sur terre les mégalodons sont éteints, sur Argeya certains représentants de l'espèce ont survécut dans les mers. Ces requins géants mesurent entre 16 à 28 mètres de longueur. Leur peau s'est renforcée au fil des années et aujourd'hui, elle est semblable à une carapace. On n'en voit jamais près des côtes, ils restent au milieu des grandes mers, et son en réalité peu agressif envers les humains. Les attaques de mégalodons, si elle sont mortelles, restent des cas isolés. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Mers. On n'en dénombre le plus dans la mer Abyssion.
Bêtes :
Warg Description : Variété de loup beaucoup plus grande et puissante que leur congénères des bois. Il ont généralement un tempérament solitaire et ne se déplacent que rarement à plusieurs, il n'est même parfois pas rare qu'ils attaquent les membres de leur propre espèce, car ils sont territoriaux. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Généralement ils vivent dans les zones sombres du sud, tels que les Terres fantômes ou l'île Silithus. On peut en croiser dans les forêts au sud de l'île principale, mais assez rarement.
Fiellon Description : Grand monstre redoutable, cornu et à la puissante musculature. Il allie force brut et vitesse en combat. Ses trois yeux lui donnent une excellente vision et ses bras sont fait pour tuer, décapiter et déchiqueter. Tout comme ses crocs. Ils semblent néanmoins éviter les villes mais n'hésite pas à tuer sans mal les humains qu'ils croisent. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : les forêts profondes, les marées et les grottes. Même si l'on sait qu'ils peuvent vivre n'importe où.
Ours Nandi Description : Les ours nandi ne sont pas une race animale mais une dégénérescence magique. Ce sont des ours normaux qui, au fil du temps et pour une raison inconnue, deviennent si grands qu'ils n'arrivent plus à supporter leur propre poids. Généralement ils finissent par mourir de faim ou d'épuisement. Ils sont heureusement peu courants et endémiques. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Endémique au marais Strangleronce.
Chat des cratères Description : Des petits félins qui pullulent dans toutes les zones ou l'on trouve de la lave. S'ils ont un air vicieux et fourbe, ils n'y a en réalité pas grand chose à en craindre, étant plutôt peureux et pas plus intelligents qu'un chat basique. Ils sont une plaie pour les forges d'Ormes-val, car ils ont tendance à voler dans les réserves de nourriture et creuser des trous un peu partout. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Volcans.
Béhémoth : Monstre bestial très dangereux ils sont féroces, agressifs et territoriaux. Ils donnent du fil à retordre à n'importe qui. Ils peuvent aussi, lorsqu'ils deviennent enragés, se mettre sur leurs deux pattes arrières et se battre à l'épée, ils font alors près de trois mètres. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : on suppose les grandes plaines, les grottes et là où il y a des wargs. Ils restent très rares.
Entités magiques :
Tulpa Description : Les tulpas ne sont pas des créatures à part entière mais des "manifestations". Ce sont des formes que prennent des éléments, comme l'eau, la terre, la brume, le bois... on dit qu'il s'agit de la magie de l'île qui fait prendre vie à une matière. Généralement, ces manifestations ne durent que quelques minutes avant de retourner à leur état normal. Les tulpas sont très durs à observer, car très rares, mais on sait que pendant ces quelques minutes, il ne font que errer en ignorant totalement leur environnement. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Partout sur l'île, mais le plus souvent dans les zones à haute teneur magique.
Bombo / Flan : entité magique, ce sont des êtres farceurs qui aiment s'en prendre aux voyageurs. Les premiers quand ils se sentent en fin de vie explosent, les seconds malgré leur texture sont très puissant et les attaques physiques ne leurs font presque rien puisque c'est comme vouloir couper de l'eau. Il existe plusieurs types de bombos et de flans on connaît plus : eau, feu, terre et glace. Les bombos volent et font en moyenne 70 cm. Les flans ont une taille variable allant de la taille d'un humain moyen à celle de 3 mètres dans les lieux favorables à leur développement. Flans : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Bombos : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : un peu partout, leur peau change en fonction du l'environnement où ils naissent.
Spectres et Esprits :
Blême Description : Monstre ayant forme humanoïde ils ressemblent plus à des ombres qu'à une véritable personne de chair et de sang. Ce sont des spectres.. Ils aiment s'en prendre aux personnes ayant fait un crime odieux en les tourmentant jusqu'à les mutiler, les torturer et les faire se suicider : ils font une possession. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Nul ne sait vraiment. On pense qu'ils « voyagent » vers les personnes dont les crimes sont atroces.
Kodoma/Sylvains ou Esprits de la forêt Description : Petits esprits de la forêt marchant comme des hommes et à peine plus grand qu'une main, ils sont entièrement blanc et peuvent devenir invisibles. Ils sont inoffensifs, ils vivent en groupe et aiment tenir compagnie aux dragons. Craintifs mais curieux ils se montrent quelques fois à de rares humains chanceux. Ils sont espiègles et aiment suivre la progression des voyageurs perchés dans les branches d'un arbre. Leurs présence est rassurante et aurait quelque propriétés curative selon de vieilles croyance argeyenne. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieux de vie : Dans tous les endroits pur d'Argeya, particulièrement les bois. Ont peut en voir aussi à l'arbre Coursevent.
Leshen Description : Les Leshens sont des esprits de la forêt, des manifestations mais pas de la même manière que les Tulpas. Ce sont des chasseurs qui placent des statues souvent du bois avec un crâne de cerf, afin de rester en vie (il faut détruire tous les totems pour le tuer) et qui peuvent contrôler corbeaux et loups. Dangereux ils font apparaître des racines pour blesser mais utilisent aussi leurs grandes forces et griffes. Capacité à se téléporter sur de très courte distance. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : les forêts
Volants :
Griffon Description : Chimères mi-aigle mi-lion. Ils ont une intelligence de niveau humaine, et sont nettement moins rependus que les dragons. Depuis que l'un d'entre eux est considéré comme un traître, ils se tiennent très loin de toute civilisation humaine et évitent aussi les autres créatures, vivant uniquement entre eux. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Certains nids de griffons ont été vu sur les monts Hothgard.
Hippogriffe Description : Symbole de pureté et de courage, l'existence des hippogriffe demeure toujours en question. En effets, ils sont si rares que les témoignages sont difficilement trouvables, et jusqu'ici, seulement des preuves indirectes ont put être rassemblées. Bien souvent, les photos ou vidéos prisent se sont révélées truquées ou faisant apparaître une autre créature. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Inconnu(s).
Garuda Description : Ce sont ds oiseaux aux plumes chatoyantes. Il font la taille d'un grand aigle, mais sont particulièrement intelligents, mais sans pour autant arriver à celle humaine, suppose-t-on. Ils vivent très vieux et on dit que les plus anciens sont très liés à la magie de l'île, si bien que leurs plumes sont assez recherchés car elles ont certaines propriétés. Ce qui les rends malheureusement cible de braconnages. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Un peu partout sur l'île. Il y a une réserve protégée non loin du lac oriental.
Hurleur des glaciers Description : Créatures ailés vivants dans les milieux très froids. Leurs cris fantomatiques sont particulièrement effrayants pour qui n'est pas habitué. Ils sont cependant à peine plus grands qu'un aigle, et sont piscivores. Malgré leurs apparences, ils ne sont pas agressifs, leurs hurlements sont spécialement faits pour faire peur à leurs ennemis. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Terres gelées et Joug d'Hiver, près des lacs.
Reptiles :
Serpolaire Description : Serpents mesurant habituellement une dizaines de mètres. Ils creusent de nombreuses galeries dans les glaciers et sous la neige, transformant leur lieux de vie en un véritable labyrinthe de crevasses brise nuque et autres cavernes. Ils vivent généralement en colonies d'une vingtaines d'individus. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Nord de l'île principale.
Lézard tailleur Description : Sorte de raptor. Ils vivent en groupe dirigé par un mâle dominant, et il n'est pas rare que deux groupes se battent pour le contrôle d'un territoire ou pour le cadavre d'une proie. Ils chassent aussi à plusieurs, et s'ils n'osent habituellement pas s'attaquer à un humain lorsqu'ils sont seuls, en meute ils demeurent dangereux. Ils peuvent aussi se montrer charognards. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Uniquement dans les Tranchantes.
Dragons Description : on ne les appelle plus monstres depuis longtemps pourtant ils en sont dans l'histoire d'Argeya. Reptiles aux caractères très diversifié ce sont les monstres les plus présents sur Argeya, certains représentent un danger, voir même une terrible menace envers l'Homme et la nature de l'île. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : partout sur l'île.
Vers et arthropodes :
Vers des sables Description : On les appelle aussi Shai-hulud ce sont de gigantesques vers de sable pouvant atteinte entre cinquante et cent cinquante en moyenne, quelques cas de vers de quatre cent mètres ont aussi été recensé. Creusant dans le sable, ce sont des monstres redoutables et silencieux qui peuvent arriver par la terre puisqu'ils se repèrent aux vibrations émient. On en voit cependant très peu. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Désolace et Désert Tanaris.
Scorpion Description : A côté d'un petit scorpions on trouve aussi des scorpions géants, relativement dangereux qui errent dans le désert. Ils sont très peu mais leur venin suffit à tuer presque immédiatement. Leurs grandes pinces s'avèrent relativement dangereuses et tranchantes. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Désolace et Désert Tanaris.
Inclassable :
Katakan / Ekimme Description : Monstres terrifiants que l'on appelle aussi vampire, à tord, ce sont des sortes de grandes chauves-souris qui ne peuvent voler mais qui tue leurs victimes pour boire leur sang. Leurs corps se régénèrent rapidement des blessures, et contrairement aux croyances ils ne craignent ni ails, ni pieux, ni croix. Extrait d'un vieux grimoire : « il ne suce pas le sang des jeunes vierges d'une tendre morsure, mais leur arrache la gorge de ses longues griffes avant de lécher leur sang à même le sol. » Katakan : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Ekimme : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lieu(x) de vie : Grottes, catacombes, égouts. Tout de même rares.
Fées Description : L'existence des fées n'est pas non plus avérée. On ne sait pas à quoi elles ressemblent en vrai, certains les décrivent comme de mignonne petites femmes ailées, d'autres comme des créatures des ombres se terrant dans le noir pour jouer de mauvais tour. On leur attribut souvent la disparition des objets communs tels les clés ou les chaussettes. Lieu(x) de vie : Inconnu(s). Forêts présumées.
Humains Description : Parfois destructeurs les chercheurs ont estimé que l'Homme avait aussi sa place dans le Bestiaire afin de prévenir les citoyens des brigands et des voleurs. Imprévisible ils sont dangereux pour eux et pour le reste de l'île. Lieu(x) de vie : Partout, dans des endroits éloignés pour les brigands qui viennent sur les routes.
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A la fin du Bestiaire se trouve une carte recensent les endroits les plus propices à les présences des monstres. Bien sûr cela ne signifie point que les-dits monstres restent sagement dans ces zones. Ce sont seulement les zones où l'on dénombre le plus d'apparition et d'individus dans chaque espèce de monstre. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Elle est accompagnée par la carte d'Argeya où sont notés tous les lieux.
De manière général chaque foyer en a au moins un. Il est consultable en bibliothèque et est souvent gratuit. Il est l'un des livres les plus réimprimé chaque année. Il existe aussi le Bestiaire de poche pour les voyageurs afin de ne pas avoir un livre de plus de 500 pages qui décrit chaque espèce mais un livre qui comporte une à deux pages maximums pour chaque monstre.
Crayon Admin
Messages : 238 Age : 30 Date d'inscription : 16/11/2014
Sujet: Re: Le troisième dragon : complément au rp Jeu 27 Oct - 23:55
Données complémentaires publiques:
Statut de conservation
L' IAPD (institut argeyien pour la protection des espèces draconiques) classe chaque espèce selon des critères précis pour évaluer le statut de l'espèce. Les causes de l'extinction d'une espèce peuvent être diverses (destruction de leur environnement, cause humaine (chasse ou braconnage), déséquilibre naturel (disparition de leur source de nourriture ou extermination par une autre espèce), ou hybridation et pertes des gènes propres à l'espèce).
(S) Stable : L'espèce ne présente pas de danger d'extinction. Ce statut est appliqué lorsqu'une espèce est au-dessus du seuil de population viable minimum pour la survie de l'espèce.
(V) Vulnérable : L'espèce ne présente pas de danger immédiat d'extinction, mais probabilité d'être en danger dans le futur. Ce statut est appliqué aux espèces encore au-dessus du seuil, mais dont la population subit un déclin avéré depuis au moins cinq siècles.
(QM) Quasi menacé : L'espèce présente un danger d'extinction dans un futur proche. Ce statut est appliqué aux espèces en-dessous du seuil, ainsi qu'a celles le plus souvent victimes de braconnages. Ces espèces sont classées comme « rares ».
(M) Menacé : L'espèce présente un danger d'extinction immédiat. Ce statut est appliqué aux espèces en-dessous du seuil depuis plus de cinq siècles. Ces espèces sont classées comme « rares » et « protégées ». Des mesures peuvent être prises pour protéger l'espèce, notamment l'aménagement d'environnement surveillés.
(ED) En danger critique d'extinction : L'espèce présente un danger critique et immédiat. Ce statut est appliqué lorsque aucun individu présentant au moins cinq caractéristiques de l'espèce n'a pu être recensé en moins de cinq siècles. Des mesures de recherches actives sont menées. Ces espèces sont classées comme « très rares » et « protégées », et il est demandé de prévenir les autorités au plus vite si un individu de l'espèce est aperçu.
(E) Éteinte : une espèce est considérée comme éteinte si aucun individu présentant au moins cinq caractéristiques de l'espèce n'a été recensé en plus de cinq siècles, et ce, malgré les recherches.
(DI) Données insuffisantes : Pas assez de données pour évaluer le risque d'extinction.
Niveau de dangerosité
ATTENTION Le niveau dangerosité 0 n'existe pas. Aucune espèce ne peut être classée avec un risque nul du fait des particularités caractérielles de chaque individu.
Le niveau de dangerosité n'est évalué qu'à titre indicatif, à destination de l'évaluation des risques pour chercheurs spécialisés.
Le niveau de dangerosité n'est évalué qu'à travers des études statistiques concernant le nombres d'attaques mortelles ou non d'une espèce draconique contre la race humaine uniquement.
Il ne peut et ne doit pas être appliqué dans le but de juger de la dangerosité d'un individu isolé.
Niveau 1 : L'espèce ne démontre pas d'agressivité visible envers l'humain, et présente un niveau de dangerosité faible. Pour les dragons liés à un cavalier, aucune restriction dû à l'espèce n'est applicable.
Niveau 2 : L'espèce peut démontrer une agressivité dans certaines situations, et présente un niveau de dangerosité moyen. Il est vivement recommandé de n'approcher cette espèce qu'avec toutes les précautions nécessaires. Pour les dragons liés à un cavalier, aucune restriction dû à l'espèce n'est applicable.
Niveau 3 : L'espèce démontre d'une agressivité manifeste envers l'humain et présente un niveau de dangerosité élevé dans certaines situations. Il est fortement déconseillé de franchir les espaces de vie de cette espèce. Les cavaliers liés à une espèce de dragon classée niveau de dangerosité 3 sont dans l'obligation de le déclarer aux autorités.
Niveau 4 : (cas particulier, le niveau 4 n'est attribué qu'à très peu d'espèces). L'espèce démontre une agressivité quasi permanente envers l'humain et présente un niveau de dangerosité critique. Les lieux de vie de cette espèce sont strictement interdits d'accès. Les dragons d'une espèce classée niveau de dangerosité 4 ne doivent être approchés que par les personnes disposant d'une habilitation, avec toutes les précautions nécessaire, ainsi que, le cas échéant, par leur cavalier. Les cavaliers liés à une espèce de dragon classée niveau de dangerosité 4 sont dans l'obligation de le déclarer aux autorités et de soumettre le dragon à un test comportemental au minimum tout les cinq ans. Selon les résultats au test, le dragon peut être interdit d'accès à certaines villes.
Détails des tests comportementaux (données confidentielles)
Les données concernant les tests comportementaux sont confidentielles. La consultation du dossier est exclusivement réservée au personnel qualifié de l'Institut des Sciences Comportementales Draconiques de Cylnaès. Vous devez impérativement disposer d'une accréditation gouvernementale de niveau 5 délivrée par l'ISCDC pour consulter le présent dossier, ainsi que des identifiants enregistrés dans le serveur central et en cours de validité. Dans le cas contraire, toute tentative d'accès sera signalée au serveur, votre localisation sera envoyée au service de sécurité et vous vous exposerez à de lourdes sanctions.
Toute personne tentant d'accéder au présent dossier sans l'accréditation nécessaire et/ou sans les identifiants requis est passible de poursuites judiciaires. Toute tentative de téléchargement ou d'accès à ce fichier depuis un ordinateur non connecté à l'intranet de l'ISCDC résultera en une arrestation immédiate indépendamment du niveau d'accréditation.
ENTREZ VOS IDENTIFIANTS. ACCRÉDITATION MINIMALE G5 REQUISE:
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Identification réussie. L'utilisateur Invité dispose d'une accréditation suffisante.
Accès Autorisé.
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La date, l'heure, ainsi que l'adresse IP de connexion ont été enregistrés dans la base de données.
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Récupération du fichier en cours...
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Examens comportementaux de l'Institut des sciences du comportement draconique de Cylnaès pour les espèces classées au niveau de dangerosité 4
Directeurs des examens Docteur en psychologie Malcom T. Valens, et Maître de conférence Julia Roch.
Les tests sont renouvelés tous les cinq ans et sont tenu confidentiels. Aucune personne extérieure à l'Institut et/ou ne possédant pas les autorisations nécessaires ne peut avoir connaissance des détails des examens comportementaux. Si une fuite d'information est constatée, une enquête approfondie sera ouverte et les examens seront modifiés qu'importe la date de leur dernière mise à jour.
Les examens se font au cas par cas. Chaque dragon doit posséder un dossier complet retraçant tous ses précédents résultats aux tests. Ces dossiers sont strictement confidentiels et tenu au secret professionnel, et ne peuvent en aucun cas faire l'objet de recherches ou d'études. Un psychologue en chef ne peut suivre plus de trois dragons, dans l'objectif de personnaliser au maximum l'examen pour une prise de décision juste des mesures à appliquer ou non. Un dragon passera toujours son examen avec le même psychologue sauf demande expresse de modification.
Les examens sont minutieusement préparés par les docteurs d'élite en psychologie minimum de rang 5 de l'Institut. Tout sujet passant les examens doit se soumettre aux directives du psychologue en charge durant l'intégralité du temps de l'examen. Chaque parole et action du sujet sera enregistrée et étudiée dès la fin des tests par des spécialistes spécialement formés pour cela, et toute tentative de mensonge et/ou de manipulation sur les examinateurs de la part du sujet sera signalée et fera l'objet d'une étude approfondie.
Le sujet est prévenu dès le début des tests que le sérieux de ces derniers ne saurait tolérer les marques de désinvolture. Le sujet est tenu à la vérité et à la transparence. Dans le cas contraire, les résultats aux examens seront jugés avec plus de sévérité de la part des examinateurs. Il ne peut s'écouler qu'au maximum 4 jours entre la fin des examens et la décision des examinateurs concernant l'application ou non de mesures.
Critères d'admission
Tout dragon entrant dans les critères suivants doit être soumis au minimum une fois tous les cinq ans aux tests comportementaux.
Le dragon doit être officiellement déclaré comme appartenant à une espèce classée de niveau de dangerosité 4. Le dragon doit être âgé d'au minimum 500 années [DONNÉES RÉÉTUDIÉES. Du fait de la diversité des espèces, un âge ne peut être donné en années. Le dragon devra être au minimum adolescent. Voir critères détaillés pour chaque espèce]. Le dragon doit avoir un cavalier officiel adulte. Dans le cas contraire, le ou les tuteurs légaux du cavalier devront être présents lors des tests comportementaux sauf indication contraire.
Tout dragon répondant aux critères ci-dessus et ayant infligé des dommages physiques ou psychologiques, de manière volontaire ou non, sur une personne humaine, doit impérativement repasser les examens comportementaux indépendamment de ses précédents résultats. Selon les résultats, les mesures peuvent être modifiées à tout moment pour préserver la sécurité des citoyens.
Détails des mesures
Pour les mesures 1 à 3 inclues, une dérogation spéciale peut être appliquée en cas d'urgence médicale.
Mesure 1 Interdiction de séjour prolongé dans une ville humaine de plus de 10 000 habitants. Le séjour comporte l'espace souterrain, terrestre, aérien et aquatique, et ne peut durer plus de dix jours.
Mesure 2 Interdiction séjour dans une ville de plus de 10 000 habitants. Le séjour comporte l'espèce souterrain, terrestre, aérien et aquatique. Est considéré comme séjour tout temps supérieur à 1 jour.
Mesure 3 Interdiction de séjour et de passage dans toute zone habitée.
Mesure 4 Interdiction de séjour et de passage dans toute zone habitée et le sujet soit respecter une distance minimale de 20 kilomètres envers toute installation humaine, et ce, en toute circonstances.
Tout dragon refusant à se soumettre aux examens comportementaux se verra immédiatement interdire l'accès à toute installation humaine.
Conformément au protocole de sécurité minimale, tout cas de résistance, de coups et blessures, de préjudice ou tentative de préjudice envers toute personne humaine dans le but de se soustraire à l'application des mesures et/ou étant manifeste d'une tentative de fuite, verra le déclenchement immédiat de la procédure 130-Arsh.
De même, tout dragon ou cavalier ne respectant pas les mesures arrêtées feront l'objet d'un avertissement. Si, après deux avertissement, le dragon et/ou son cavalier contreviennent une nouvelle fois aux mesures, la procédure 130-Arsh sera immédiatement déclenchée quelque soit les contrevenants.
La procédure est précise et rapide. Elle a été spécialement étudiée pour contenir toute menace, et fait intervenir ██ █████ █ █████████ ████████████████ ██ ███████ ███ ████████████████████ [DONNÉES CENSURÉES].
Dossier détaillé de la procédure 130-Arsh:
Accréditation gouvernementale de niveau 6 requise. En cas de défaut, la tentative d'accès sera transmise au serveur central et l'IP de connexion sera enregistrée et tracée.
ENTREZ VOS IDENTIFIANTS. ACCRÉDITATION MINIMALE G6 REQUISE:
ERREUR
L'utilisateur Invité ne possède pas l'accréditation nécessaire.
Accès refusé.
Toute nouvelle tentative d'identification sera signalée au service de sécurité.
En cas d'échec de la tentative, la connexion sera interrompue et le poste informatique deviendra inopérable jusqu'à son déverrouillage par le personnel qualifié.
Veuillez quitter le dossier 130-Arsh.
Détails des tests comportementaux
L'examen se déroule sur une demi-journée et se décompose en trois tests. Le dragon se soumettant au test n'est pas autorisé à connaître l'intitulé, le contenu ou les résultats des tests. Certaines questions, paroles et actions des examinateurs sont spécialement pensées pour être trompeuses et hermétiques.
Le sujet ne connaît pas l'objectif ni le but précis des questions ou des paroles des examinateurs et doit répondre de manière honnête pour assurer le bon déroulement de l'examen et une décision juste à son égard.
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Premier Test
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Code TR-01
Intitulé Test comportemental de réponse aux stimulations nerveuses.
Objectif Déterminer le niveau de mesure des réactions primaires du dragon aux émotions directes de type frustration, nervosité et colère.
Problématique de base Le dragon est-il capable de self-contrôle dans une situation nerveusement instable et/ou à risques ?
Déroulement Le sujet passe ce test en premier et ne doit pas être accompagné de son cavalier ni d'une quelconque personne proche. Le test durera une heure complète. Cette durée peut-être étirée si besoin sur la demande du psychologue en chef. Le test prendra place dans une zone en plein air (bâtiments de contrôle D à H inclus). Sous couvert de l'attente du commencement de l'examen, le sujet devra attendre dans une zone en plein air avec un groupe de dragons et d'humains composé de 5 à 11 individus composé d'au minimum trois examinateurs en habit de civil spécialement formés, sans avoir été prévenu que l'examen a déjà commencé. Cette heure d'attente aura pour but d'examiner les réactions du dragon au minimum devant trois des six situation suivantes : provocation directe prenant pour cible le sujet, manque de respect envers une opinion émise, critique nuancée sur la race humaine, attitude de défi de la part d'un autre dragon, remarque insultante nuancée prenant pour cible le sujet, désaccord sur un sujet d'actualité classé comme sensible. Les situations seront initiées par les examinateurs et les questions seront préparées à l'avance en prenant en compte le dossier du sujet et ses précédents résultats aux tests. Durant la première demi-heure, le test ne sera qu'uniquement oral. Passé ce palier, et si le sujet n'a pas démontré une agressivité ou une perte de contrôle nerveuse malgré la présence des humains et les différentes situations initiées, l'un des dragons a l'autorisation d'initier un début de confrontation en utilisant l'une des six situations. La confrontation ne devra pas dépasser le seuil de sécurité G7 mis en place par l'Institut. Dans le cas contraire, l'équipe de sécurité désignée pour l'examen devra intervenir dans les plus brefs délais pour éviter toute situation à risque. Le psychologue en chef décide de la fin du test lorsqu'il estime que les informations récoltées sont suffisantes. L'intégralité du test sera enregistrée grâce aux différentes caméras de sécurité placées dans l'enceinte et pourra être récupérée pour l'étude des résultats et la prise de décision.
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Deuxième Test
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Code TP-12
Intitulé Test de personnalité et état psychologique de considération empathique envers la race humaine.
Objectif Déterminer les aspects fondamentaux de la personnalité du dragon selon le paradigme sociologique de Merton des sciences comportementales de l'École de Colinwood, et mesurer le degré d'implication psychologique envers la vie humaine.
Problématique de base Le dragon accorde-t-il de l'importance à une vie humaine et présente-il une menace en présence d'humains ?
Déroulement Le sujet ne doit pas être accompagné de son cavalier ni d'une quelconque personne proche. Le test durera environ une heure. Cette durée peut-être étirée ou raccourcie si besoin sur la demande du psychologue en chef. Le test prendra place dans une zone semi-intérieure aménagée (bâtiments de contrôle A à C inclus). Le test se présente sous la forme d'une discussion menée par le psychologue en chef, et, s'il le souhaite, secondé par un ou plusieurs assistants. Sur demande du sujet, la présence d'un autre dragon est autorisé. Il devra cependant parler majoritairement au psychologue.
La discussion comprend au minimum trois étapes :
Le sujet est tout d'abord invité à parler de son histoire et/ou son expérience. Cette étape se présente sous une forme pouvant se rapprocher d'une consultation psychologique. Le sujet est libre de converser ou non.
Un questionnaire de personnalité basique est soumit au sujet par le psychologue. Le sujet est libre de répondre ou non aux questions. Le questionnaire sera préparé à l'avance et les questions seront modelées en fonction des précédents résultats du sujet. Cependant, le questionnaire n'apporte qu'une information de tendance sociale non rigoureuse.
Le sujet est ensuite invité à exprimer son opinion sur la race humaine et sur différentes simulations de situation. Le thème général de la discussion devra porter sur l'importance de la vie humaine et sur la problématique de base du test.
Le psychologue seul décide de la fin du test. L'intégralité de l'entretien doit être enregistré pour pouvoir être visionné ultérieurement et sera l'objet d'une mise en archive. L'entretien est privé et toute parole prononcée est sous le couvert du secret professionnel.
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Troisième Test
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Code TE-08
Intitulé Test de lien de compréhension et d'obéissance basique envers le cavalier et mesure du respect des règles civiles et humaines.
Objectif Déterminer le niveau moyen d'autorité que le cavalier peut exercer sur le dragon et la tolérance de ce dernier au respect les règles appliquées.
Problématique de base Le cavalier est-il capable de maîtriser le dragon lorsque ce dernier est nerveusement instable et/ou présente une menace envers une personne humaine ?
Déroulement Le sujet doit être accompagné de son cavalier, et peut, sur demande, être accompagné de toute autre personne et/ou dragon proche. Le test durera environ une heure. Cette durée peut-être étirée ou raccourcie si besoin sur la demande du psychologue en chef. Le test prendra place dans une zone en plein air (bâtiments de contrôle D à H inclus). Le sujet est invité à rejoindre son cavalier à l'extérieur une fois TP-12 terminé et a l'autorisation de se reposer le temps que la première étape du test se termine. Le test se présente sous la forme d'une discussion menée par le psychologue en chef uniquement.
La première étape est une discussion générale d'une dizaine de minutes entre le cavalier et le psychologue en chef ayant pour objectif de déterminer l'évolution du sujet depuis le dernier examen et, s'il y a lieu, des événements survenus au cours de TP-01. Au cours de cet entretien, le psychologue devra aussi inciter le cavalier à exprimer ses impressions et opinions sur le lien ressentit avec son dragon. Le sujet est ensuite invité a participer à la discussion. Le cavalier et le sujet sont libres de discuter ou non avec le psychologue. Le thème général de la discussion devra porter sur leur rencontre et la formation de leur lien. Au cours de ce test, le psychologue devra initier le dialogue entre le sujet et son cavalier. La dernière étape de ce test se présente sous la forme d'un questionnaire de connaissances basique des règles et des lois en vigueur dans une agglomération humaine. Les questions de ce test doivent être ouvertes et sujettes aux interprétations pour permettre de comprendre comme le cavalier et son dragon approchent les règles et les lois. Le questionnaire est préparé à l'avance selon le dossier du sujet et doit inciter le cavalier et le sujet à discuter sur des thèmes généraux tournant autour des lois juridiques et morales humaines. Le psychologue seul décide de la fin du test. L'entretien est privé et toute parole prononcée est sous le couvert du secret professionnel. L'entretien ne peut en aucun cas être enregistré sous quelle que forme que ce soit. Le psychologue seul se porte garant des informations notées ou non au cours de cet entretien et de leur validité pour la prise de décision.
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Le psychologue en charge seul décide de la fin de l'examen et donne la possibilité au sujet et à son cavalier de se retirer. Une fois l'examen terminé, les informations sont envoyées au conseil de décision pour une étude approfondie avec le concours du psychologue en chef. Les résultats sont compensatoires. La décision des mesures à prendre ou non et/ou à changer ou non ne devra pas excéder 4 jours à partir de la fin de l'examen. La décision sera ensuite approuvée par les directeurs et pourra être envoyée au cavalier. Dans le cas contraire, la décision devra être revue par le conseil dans les plus brefs délais.
Dès la réception de la décision, le cavalier dispose d'un délais d'une semaine pour faire appel. Le cavalier doit remplir le formulaire d'appel F.56 disponible à l'accueil de l'Institut et l'envoyer au plus tôt au conseil de décision. Une fois la demande prise en compte, le cavalier sera convoqué devant le conseil et dispose d'un temps maximum d'une heure pour expliquer ses raisons et discuter. Une fois ce délais écoulé, le cavalier doit se retirer pour laisser le conseil délibérer et réexaminer les résultats du test. La nouvelle décision sera communiqué au cavalier au maximum 5 jours après la convocation, et ne pourra en aucun cas être modifiée avant le prochain passage du dragon à l'examen.
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Dernière édition par Crayon le Mer 9 Nov - 22:58, édité 13 fois
Crayon Admin
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Sujet: Re: Le troisième dragon : complément au rp Ven 28 Oct - 0:05
Recensement des espèces draconiques
Dragon commun:
Dragon Commun
Dragon à quatre pattes
Description physique
Cette espèce de dragon est certainement la plus commune à Argeya, leur corps peut être fait de cuir ou d'écailles, et se décompose en plusieurs couleur. D'une taille plutôt modeste : souvent trois mètres au garrot, plus ou moins et des longueurs aléatoires, ils possèdent différentes caractéristiques mais pas assez pour en faire une sous espèce.
De ce fait il est très difficile pour les chercheurs de faire la description d'un individu de référence. Cependant pour faire partie de cette catégorie il faut que le dragon possèdent quatre pattes, une queue et des ailes. Le dragon pourra posséder cornes, griffes, poils voire quelques plumes sous certaines limites : ses ailes devront être faite par d'une membrane.
Les attributs devront être simple et trouvable chez toutes les espèces, en aucun cas ils ne devront être un véritable signe distinctif qui pourra faire d'un dragon commun un autre espèce, si tel est le cas, il devra être reclassé.
Description comportementale
Tout dépend du dragon, comme le physique, une grande diversification du comportement est notable. Ils ne sont cependant pas agressifs envers les Hommes voire les autres espèces.
Il est possible que les dragons communs se rassemblent en horde ou restent solitaires, de ce fait, ils peuvent être quelques peu hostile envers les autres, ou alors très solidaire et affectif avec leur entourage.
Le comportement dépend pour les scientifiques de l'éducation, de l'environnement et du passé, par conséquent plusieurs caractères et comportements sont acceptés. Ils ont une intelligence égale à l'Homme.
Cette espèce est classée au niveau de dangerosité 1
Pouvoirs possibles
Multitudes de pouvoirs possibles.
Environnement propice à sa croissance
Aucun environnement plus propice qu'un autre.
Répartition
Toute l'île.
Reproduction
Leur reproduction se fait bien souvent au printemps, selon les comportements les paires sont plus ou moins fidèles, soit elles se séparent après la période de reproduction, soit elles restent ensemble.
Les petits sont souvent élevés dans un cadre familiale, la mère donne lieu à plusieurs œufs (au maximum de cinq) et le couple les éduque jusqu'à ce que les petits prennent leur indépendance. Il est possible que les petits puissent retourner voir leur parent des siècles après leur naissance et indépendance.
Selon leur lieu de vie, les petits sont plus ou moins résistants. De plus, les dragons communs dont la lignée vit depuis longtemps trop près des Hommes les aurait légèrement affaiblis au court du temps.
Régime alimentaire
Ce sont des dragons omnivores, leur environnement est souvent un facteur de leur régime alimentaire. Ils s'attaquent aux herbivores mais les chercheurs les ont aussi vu manger des fruits, voire des repas humains.
Statut de conservation de l'espèce (S) Stable
Données complémentaires du dossier:
File 1 Peinture de Salch, on suppose qu'il a peint ce groupe en étant lui même sur son dragon. La grande ressemblance entre les quatre dragons laissent supposer qu'ils sont de la même famille. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
File 2 Photographie du dragon et de son cavalier Sleeve Vanhe quelques jours après la guerre contre des rebelles du griffon afin de montrer sa supériorité et sa force. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
File 3 Brodure d'un dragon commun noir, tapisserie d'une grande maison. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dragons non classés:
Non classés
Non classés
Description physique
Les dragons non classés sont les dragons qui ne ressemblent en aucun cas à un dragon de référence. Les scientifiques ne peuvent pas les caractériser tant ils sont différents des autres dragons, de par leur taille, leurs attributs.
De plus, ces dragons non classés sont bien souvent trop peu nombreux pour définir des caractéristiques donnant lieu à une espèce, ils se comptent généralement à deux ou trois individus voire un seul observé.
Description comportementale Les dragons non classés n'étant pas une espèce, il n'est donc pas possible de faire une description comportementale.
Cette espèce est classée au niveau de dangerosité (DI) données insuffisantes
Pouvoirs possibles (DI) données insuffisantes.
Environnement propice à sa croissance (DI) données insuffisantes.
Répartition Souvent des lieux éloignés de l'Homme.
Reproduction (DI) données insuffisantes.
Régime alimentaire
(DI) données insuffisantes.
Statut de conservation de l'espèce (DI) données insuffisantes.
Données complémentaires du dossier:
File 1 : Photographies de 1678 du groupe de recherche Wastons dans le désert Désolace d'un gigantesque dragon. Son rapport affirme qu'il s'enfouissait sous terre et volait sans les voir. Ce dragon que le chercheur à nommé Phalanx n'a plus été revu depuis et aucune trace de sa présence n'a été retrouvé dans les siècles suivants. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
File 2 Photographies de 1723 du groupe d'explorateur Mercier dans les vestiges d'un vieux château. Ce dragon a de grandes similitudes avec les vouivres géantes mais l'incapacité des explorateurs à retrouver ce dragon même en revenant sur ces lieux et à observer d'autres dragons semblables ne peuvent affirmer ou infirmer cette hypothèse. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
File 3 Remarque d'un groupe de scientifiques en 1928
« L'étrangeté des dragons inclassables en font des êtres presque unique : ils ont réussi au fil des siècles à se cacher sans qu'aucun document n'affirme que certains sont nés d'une expérimentation humaine. Il faut donc poursuivre nos recherches afin de percer leurs mystères et trouver d'autres individus afin de les classer dans une espèce qui leur est propre. »
File 4 Photographie d'un chercheur inconnu, aux abords de la tour Taejin. Aucun rapport ne fut retrouvé, ni même le nom du chercheur. Malgré la mauvaise qualité de l'image de 1889, aucun être semblable ne fut observer jusqu'à récemment, lorsque des populations locales affirment qu'un dragon à perle volent au-dessus de la montagne. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Vouivre géante:
Vouivre Géante
Vouivre
Description physique
Cette sous espèce de wyverne est connue pour sa taille imposante et son envergure démesurée. Les plus grands et âgés peuvent facilement atteindre 5 mètres de haut en se tenant aux aguets, c'est-à-dire bien droit sur leurs pattes, et 3 mètres quand ils ont les griffes de leurs ailes sur le sol, et une longueur de 7 à 8 mètres maximum. Leurs ailes bien souvent musclées peuvent avoir une envergure de 7 mètres, celles-ci possèdent de puissantes griffes d'une couleur or ou ivoire et une membrane épaisse et résistante. Bien souvent, leurs pattes sont relativement musclées et très développées, elles se découpent en trois grands doigts munies de griffes tranchantes.
Leur tête possèdent une mâchoire puissante qui en plus de posséder des dents tranchantes à une forme qui se découpe dans le cuir pour mieux broyer et arracher la chair. Les orbites sont légèrement enfoncées dans le crâne, possédant souvent des iris à la pupille fendue de couleur jaune, rouge voire bleutée. Le bout de leur museau se termine pour les mâles en pointe et en bout rond (menton compris) pour les femelles. Ils possèdent bien souvent deux à quatre cornes de la même couleur que les griffes voire aucune pour quelques individus, elles sont soient pointues, soient vers l'arrière. Même si l'on dénombre beaucoup de diversification au niveau de leur tête. Leur gorge est bien souvent un poil plus arrondis, souvent l'endroit d'une poche magique qui peut aussi se trouver dans leur ventre.
Cette espèce de vouivre possèdent un cuir épais qui forme parfois une protubérance ressemblant parfois à des écailles, ce cuir peut être de différentes couleur selon l'environnement dans lequel la vouivre a évolué. Leur queue se termine souvent en pointe.
Malgré leur épaisse carapace de cuir, leur forte musculature leur permet un vol puissant, leur puissance naturelle leur permet de porter leur lourd poids. Ils possèdent parfois une légère crête à la nuque même si les scientifiques pensent plutôt à une hybridation. Les mâles et le femelles sont très semblable, quoique les femelles sont bien souvent légèrement plus petites, et ont le bout du nez plus arrondis.
Description comportementale
Les vouivres géantes sont des individus plutôt solitaires, territoriaux et hostile envers les autres espèces et les humains. D'une nature bien souvent froide et distance leur nature solitaire les rend bien souvent calculateur. Dangereux pour leur propre espèce il est très rare de voir plusieurs vouivres géantes ensemble comparé à d'autre espèce de vouivre très solidaire.
Malgré le fait qu'ils peuvent s'adapter à beaucoup et qu'il a été noté qu'ils ont un comportement plutôt pliable selon l'environnement et les personnes les entourant, ils sont souvent évités par les autres espèces et par les Hommes à cause de ce côté mystérieux.
A l'état sauvage, très peu de couple ou de familles ont été observées et observable puisque les parents se montrent nettement plus hostile envers les autres quand ils attendent ou ont un petit. C'est souvent ici que les chercheurs notent un changement presque radical dans le comportement des vouivres puisqu'il semble s'adoucir : les familles sont bien souvent soudées, les couples plutôt fidèles et en dehors des périodes de reproductions et/ou de l'éducation de leur petit ils deviennent plus approchable. Les jeunes dragons à l'âge adulte s'en vont cependant et il est fort probable qu'ils ne revoient plus leurs parents.
Territoriaux, chaque vouivre géante possède une petite parcelle de terre où il est préférable de ne pas s'approcher, ni intervenir quand deux individus se disputent une terre puisque l'environnement en prend pour son grade jusqu'à mort de l'adversaire. De même il est souvent peu recommandé de se tenir trop proche des nids de ces dragons. Néanmoins, les individus acceptent les passages sur leur territoire. Les scientifiques ont pu observer des vouivres géantes se battre contre d'autres espèces pour garder leur parcelle, il leur arrive parfois de combattre plusieurs dragons à la fois mais qu'après évaluation du danger.
Les vouivres géantes ont une intelligence semblable à celle de l'Homme même s'ils se montrent très hostiles envers eux et ne supportent que très peu de temps leur présence. Ils sont difficilement approchables et ceux qui ont un cavalier n'ont de respect que pour celui-ci, il n'est absolument pas recommandé de vouloir tenter une approche sans la présence du cavalier et l'accord du dragon.
Cette espèce est classée au niveau de dangerosité 4
Pouvoirs possibles
Cette espèce de vouivre a souvent un pouvoir en liaison avec son lieu de naissance même si bien souvent ce sont des pouvoirs plutôt élémentaires et offensifs.
Environnement propice à sa croissance
Aucun environnement plus propice qu'un autre.
Répartition
Les vouivres géantes peuvent vivre partout, mais ont une préférence pour les montagnes, les cavernes ou les falaises où il est possible de s'abriter, comme l'espèce des vouivres de base
Reproduction
Leur période de reproduction dure quelques mois, en plein hiver afin de donner lieu à un œuf au printemps. Durant cette période les dragons ont tendance à accepter plus facilement les intrusions, ils ne cherchent pas non plus à se battre pour une terre mais plus à montrer leur puissance aux femelles.
Cependant du fait que les couples s'apparient généralement pour très longtemps, cela ne se fait pas qu'au combat mais plus aux liaisons qui peuvent se faire après qu'un mâle ou une femelle se soit approché d'un possible compagnon. Les scientifiques s'accordent à dire qu'ils ont un comportement similaire à celui des humains puisqu'ils cherchent à connaître le conjoint au fur et à mesure.
De ce fait, il arrive souvent qu'une paire ne s'accouple pas la première année de leur rencontre, voire parfois seulement après plusieurs années.
La femelle pond un, à deux œufs qui éclosent au bout de trois mois. Les petits atteignent ensuite l'âge de voler dès la cinquantaine et développe leur pouvoir cent ans après.
Régime alimentaire
Les vouivres géantes sont carnivores et préfèrent chasser plutôt que d'avoir une tendance charognard. Ils savent chasser ce qu'il leur faut et font attention à ne pas chasser trop de femelles ou de jeunes mâles afin de toujours garder une population intéressante sur leur territoire.
Leurs proies sont souvent des herbivores même s'ils ont été vu, dans les périodes difficiles, manger d'autres dragons ou même des voyageurs imprudents, et différentes espèces présentes dans le bestiaire.
Remarque : Lorsqu'ils couvent un œuf, l'un des deux parent s'accorde à rapporter à son compagnon de quoi manger. Ils y vont à tour de rôle et prennent souvent la première proie qu'ils ont sous les pattes.
Statut de conservation de l'espèce (S) Stable.
Données complémentaires du dossier:
File 1 : Peinture datant de [date à rentrer] d'une vouivre géante, à la base photographie perdue du chercheur West retransmise en peinture par le peintre Vich. Le cou et museau fins montrent que l'individu est encore jeune et n'a apparemment pas terminé sa croissance malgré des pattes qui semblent déjà imposantes. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
File 2 : Illustration datant de [date à rentrer] d'une vouivre géante de couleur verte, cette couleur n'ayant jamais été observée chez les individus, les scientifiques s'accordent à dire que le peintre à repris un vieux croquis d'une vouivre femelle. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dragons primordiaux:
Dragons Primordiaux
Dragon à quatre pattes
Description physique
Ce sont de très grands dragons à quatre pattes, qui doivent bien faire une dizaine de mètre debout et cinq de long. Ainsi qu'une envergure de six à sept mètres. De couleur variés, ils possèdent des écailles très résistantes qui renvoient souvent les projectiles et leurs permet de se trouver dans la lave ou en haute altitude.
Ils possèdent deux grandes cornes, sous lesquelles l'on trouve une paire de petites oreilles. Leurs bouches est munies d'une rangée de crocs petits mais acérés. Chacune de leurs quatre pattes possèdent cinq doigts aux longues griffes. Leurs ailes sont reliées au niveau de l'épaule, leurs grandes tailles fait qu'ils ont souvent les ailes ouvertes sur des membranes très fines mais pourtant plutôt résistantes. Leur queue se termine en pointe tandis que sur toute l'échine dorsale l'on trouve des petites croissances.
Ces dragons ont une poche de flamme au niveau de leur cœur qui est leur unique point faible ou presque : partout sur le corps de ces dragons très rares l'on peut voir des éclats brillants, ce sont les seuls endroits où les armes peuvent le blesser selon l'hypothèse des scientifiques, mais les quelques observations de ces dragons semblent affirmer que ces points de faiblesses.
Description comportementale
Il semble que les dragons primordiaux soient très solitaires, même si leurs observations sont très peu nombreuses ils n'ont jamais été observés en groupe ni même en paire. Les scientifiques en savent très peu sur le comportement de ces dragons qui se montrent généralement hostiles, et véritablement agressifs envers l'Homme. La plupart des chercheurs y ont laissé la vie, si bien qu'ils sont encore aujourd'hui très peu observés et observable.
Les quelques enregistrements qui ont eu lieu et qui sont encore valides aujourd'hui font état de dragons très intelligents, plus que la moyenne humaine, qui piègent les autres dans leur domaine : ils sont froids et calculateurs.
Aujourd'hui peu de chercheurs cherchent à les étudier puisque par le passé très peu en sont revenus.
Cette espèce est classée au niveau de dangerosité 4
Pouvoirs possibles
Cette espèce dangereuse à souvent un pouvoir de feu grâce à une poche de flamme, puisqu'ils possèdent aussi la capacité d’envoûter les gens et de les rendre esclave pendant x temps.
Environnement propice à sa croissance
Les grands espaces sont favorables à leur développement, leur permettant de facilement atteindre des grandes tailles.
Répartition
Ils ont tendance à vivre dans de vieux châteaux abandonnés, de grandes cavernes et des vestiges, voire même sur des îles assez grandes pour accueillir leur grande taille.
Reproduction Non observée. Aucune information.
Régime alimentaire Hypothèse d'un dragon carnivore, souvent en haut de la chaîne alimentaire de son écosystème.
Statut de conservation de l'espèce (DI) Données insuffisantes
données complémentaires du dossier:
File 1 Retranscription d'un document audio d'un chercheur mort dans sa quête de recherche d'un dragon primordial. Le chercheur parle seul et arrive dans un espace montagneux s'ouvrant sur une grande plaine.
Spoiler:
« -15 décembre 1756, j'arrive enfin dans un espace assez grand pour en abriter un ! Je ne sais pas exactement où je me trouve, cela fait déjà tant d'années que je suis partie et que je ne suis plus revenu...
17 décembre 1756, il fait nuit mais j'aperçois des lueurs dans le ciel, comme si quelque chose de gigantesque se déplace ! Je me sens vraiment proche du but, je vais enfin voir un primordial ! J'en suis sûr !
18 décembre 1756 il est là, juste au milieu de cette clairière dans cette chaîne de montagne... Je dois m'approcher... [bruits de pas, puis hurlement de la part du chercheur et un profond grondement]
-Humain qui ose s'approcher de mon domaine... Qui es-tu pour te permettre cela ? -huu, ah urg [les hurlements continuent, on entend pleurer et suffoquer] -Tu ne peux me vaincre, tu n'as plus d'espoir et tu tombe aujourd'hui. [bruit de choc contre le sol, de tremblements et l'enregistrement se coupe]
File 2 Vieille image d'un livre de légende disant que les tâches brillantes des dragons est en réalité le cœur des héros qu'ils ont dévoré. Les scientifiques ne retiennent pas cette hypothèse. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
File 3 Photographie d'un vieux rapport d'un groupe de recherche sur les dragons primordiaux. Ce dragon semble blessé, mais les rapports écrivent qu'ils n'ont touchés que les zones brillantes, et que le dragon s'est décomposé devant eux. Malheureusement le rapport a été la seule chose qui fut retrouvé. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dragon des volcans:
Dragon des volcans
Description physique
Cette espèce de dragon est généralement assez imposante. Les plus grands spécimens peuvent atteindre une taille de plus de trois mètres au garrot (généralement les plus anciens ou les dominants). Leur tête a une forme triangulaire, aux yeux jaunes ou rouges, aux mâchoires fortes, et possédant des crocs rasoir aiguisés. Ils n'ont pas d'oreilles visibles. Les cornes sont au nombre de deux ou de quatre, de forme pointue vers l'arrière. La taille maximum mesurée est de 1 mètre 58. Ces dragons ont aussi une de crête rétractable sur la nuque, et selon les individus, sur le cou. Leur musculature se développe rapidement, leur ossature est solide, tout comme leurs écailles, et les membres sont épais. Leurs ailes démontrent d'une grande puissance pour pouvoir soulever leur corps, et sont détachées de leurs antérieures.
Ce sont des dragons plutôt lourds, qui ont plus de facilités dans le combat au sol que pour les combats aériens, à cause de leur carrure massive qui réduit leur vitesse et leur endurance. Il a été observé que cela s'applique aussi pour leur magie, généralement rapidement épuisée.
Leurs écailles sont épaisses, de couleurs noires, rouges ou oranges, avec parfois des mélanges, et sont entièrement collées entre elles, formant une couche protectrice sur la peau, la protégeant de la lave ou de toute forme de chaleur. Les différences entre les mâles et les femelles sont mineures, seul un œil averti pourrait les différencier. Il semble que les femelles soient de plus petite taille, et qu'elles possèdent des épines dorsales beaucoup moins grandes que celles des mâles (voire aucune épine dorsale). Ces derniers ont, contrairement aux femelles, une ou deux pointes sous le menton.
Remarque : les dominants âgés ont des pointes sur les joues.
Remarque 2 : des différences mineures au niveau des pointes sur le nez peuvent être issues d'hybridations.
Description comportementale
De nature grégaire, les dragons des volcans se regroupent par harde de cinq ou six individus autour d'un dragon dominant (mâle ou femelle), souvent le plus ancien, qui dirige le groupe et décide des déplacements. Le dominant s'occupe aussi de l'éducation des petits. Ils ne sont pas territoriaux, mais nomades, et se déplacent de volcans en volcans pour vivre au plus près des sources de chaleur.
Lorsque les petits dragons deviennent de jeunes adultes, ils peuvent quitter leur harde s'il le souhaitent pour former leur propre groupe, soit en recrutant d'autres jeunes adultes désireux de prendre leur indépendance, soit en défiant et vainquant le dragon dominant d'un groupe déjà formé et espérer que ses membres le reconnaîtront comme nouveau chef.
Les solitaires, s'ils ne sont pas des jeunes adultes, sont assez mal considérés, car incapables de s'intégrer, et sont souvent chassés s'ils s'approchent trop d'une harde. Rare sont les groupes qui décident de s'assembler sans que cela ne passe par l'affrontement des deux dragons dominants. Le gagnant remporte la harde de l'autre et le perdant est irrémédiablement tué au cours du combat, pour éviter toute tentative de vengeance ou de rébellion. Le groupe ayant vu son dominant mort se joint donc à celui du vainqueur, mais ce dernier ne forcera généralement pas les dissidents à rejoindre. Mais bien souvent, le groupe se joint au vainqueur, aucun individu ne souhaite devenir solitaire ou tenter de combattre pour aller prendre le contrôle d'une autre harde. De nature solidaire, les membres d'un même groupe privilégient toujours l'entraide.
Si cette espèce ne démontre pas une agressivité envers les humains, il est tout de même déconseillé de s'approcher d'une harde sans y avoir été invité par le dominant. Les interactions notées par les chercheurs font état d'une intelligence au moins équivalente à l'intelligence humaine, ainsi qu'une tolérance aux investigations et aux questions.
Cette espèce est classée au niveau de dangerosité 1.
Pouvoirs possibles
Bien que les dragons des volcans ne soient pas de bon magiciens, certains peuvent travailler pour faire grandir leurs magie. Leurs pouvoirs sont généralement proches des éléments feu et terre.
Environnement propice à sa croissance
Cette espèce de dragon ne vit bien que lorsqu'ils sont près du cratère d'un volcan en activité. La chaleur est indispensable au bon développement des œufs et de leurs corps.
Répartition
Exclusivement près des cratères des volcans et les milieux montagneux environnants.
Reproduction
La période de reproduction est très courte, elle ne dure que quelques mois, lors de la saison printanière. C'est l'unique moment ou les interaction entre groupes différents sont autre chose que de la méfiance ou de l'ignorance. Pour privilégier la diversité des gênes, les reproductions n'ont pas lieu au sein d'une même harde, mais entre dragons venant de groupes différents. Durant cette période, les mâles aussi bien que les femelles usent de leurs charmes pour trouver un compagnon, cela passe par des démonstrations de force et d'esprit, cela pouvant durer plusieurs semaines, durant lesquelles plusieurs groupes se côtoient.
Le petit appartiendra à la harde dans lequel il naît, ne connaîtra donc généralement jamais son père, et sera élevé par le dominant avec le concours de la mère.
Les dragons des volcans, vivant entre individus de leur espèce, n'acceptent que très rarement la reproduction avec un membre d'une autre espèce, de peur que l'hybridation ne donne des petits inadapté à la vie sur les volcans. Une femelle ne pond qu'un œuf à la fois, et ne pourra plus en porter durant plusieurs années, le temps que son petit grandisse, les œufs sont donc couvés et choyés par les membres de la harde pour maximiser les chances que le bébé survive.
Régime alimentaire
Les dragons des volcans sont exclusivement carnivores et peuvent aussi bien être des chasseurs que des charognards. Dans une harde, deux ou trois individus (ou plus selon la grandeur du groupe) sont chargé de rapporter de quoi nourrir tout le monde, de quitter le volcan pour aller chercher des proies dans les montagnes. Le dominant mange en premier, suivit du reste du groupe, et ils ne laissent rien pas même les os de leurs proies.
Remarque : Quelques temps avant la période de reproduction, les femelles avalent des cailloux ou de la lave durcie, contenant des nutriments nécessaires pour concevoir les coquilles de leurs œufs.
Statut de conservation de l'espèce
(S) Stable.
Quelques éléments du dossier:
File1 : Détail d'une photographie prise en 1942 a.t. (année terrienne) au volcan Mephistor par l'explorateur George R. Winston. Jeune mâle crachant un jet de flamme. Note : la petite taille de la crête nucale indique que cet individu n'a pas terminé sa croissance. On remarque également les deux pointes sur le menton, particularité notée uniquement chez certains mâles.
File2 : Photographie prise en 1998 a.t. de Belware, dragon du cavalier Klaus Gottfried, lors de la Célébration du solstice d'été à Tereldor, accompagné d'un dragonnet. Note : on remarque l'absence de pointes au niveau des joues, fréquente chez les dragons des volcans côtoyant les humains.
File3 : Enregistrement audio réalisé le 8 janvier 1999 a.t. au pied du volcan Barminn par la chercheuse Laure Anderson de l'Institut des études draconiques de St Montails. Description : enregistrement d'un combat terrestre entre deux dragons des volcans. D'après la tonalité des cris, il semble qu'il s'agisse d'un mâle adulte se battant contre un jeune. On note des cris de menace, de défis, et de douleur. Bruits de chocs et, semble-t-il, de magies. Bruits de pas et souffles de L. Anderson, la chercheuse ayant précisé que cet enregistrement était improvisé.
File4 : Photographie prise en 2008 a.t. au volcan Asphodelus par le chercheur émérite Marco Midlford, de l'académie des sciences draconiques de Lor'danel. Femelle adulte dominante se baignant dans un bassin de lave. Note : la couleur bleuté de ses yeux est inhabituelle et résultant peut-être d'une hybridation.
File5 : Image d'une vidéo haute définition enregistrée le 23 août 2011 au sud du volcan Méphistor par le chercheur émérite Marco Midlford, de l'académie des sciences draconiques de Lor'danel. Femelle adulte rencontrée lors de sa partie de chasse. Note : l'individu et le chercheur discutent pendant la totalité de l'enregistrement, d'une durée de 6 minutes et 12 secondes, l'individu ayant accepté de se laisser filmer. L'absence de pointes sur le menton ou les joues indique une position dominé dans la harde, en accord avec son « devoir de nourrir sa famille » (propos recueillis par le chercheur à 4 minutes 48 de la vidéo). Remarque : la musculature des ailes est particulièrement apparente sur cet enregistrement.
Ce sont des dragons squelettes. Il semble qu'ils gardent la forme de leurs os et leurs particularités physiques (forme des cornes et/ou des ailes, forme du crâne, de l'épine dorsale...), un scientifique avisé pourrait donc, en étudiant la forme des os, déterminer à quelle espèce appartenait le dragon avant sa mort. Un débat avait était soulevé au sein de la communauté scientifique pour savoir s'il fallait classer ces dragons comme faisant partie de leur espèce d'origine bien qu'ils n'aient plus de chair, et non plus comme espèce à part entière, à cause de leur impossibilité de reproduction. Au final, il fut choisit de garder l'espèce des dracoliche comme une espèce à part entière.
Leurs os peuvent être de couleur blanche, grise ou noire (jusqu'ici, l'hypothèse avancée est que plus le dracoliche est âgé, plus les os s'assombrissent). Il semble que certains ont leurs os soient lisses, alors que d'autres gardent des morceaux de chairs en putréfaction sur certains points de leurs squelette. Jusqu'ici, on suppose que leurs articulations sont maintenues ensembles par magie.
Leurs ailes peuvent garder leur membrane, mais cette dernière semble très fragile. Dans certaines histoires, il est raconté que certains perdent définitivement la capacité de voler mais cela ne constitue en rien une preuve scientifique. Cette race de dragon ne semble pas pouvoir mourir de vieillesse. Les écrits concernant la manière de renvoyer un dracoliche à la mort existent mais leur véracité n'est pas encore scientifiquement prouvé avec exactitude.
Description comportementale
Aucun dracoliche n'a pu être observé en interaction avec un autre membre de son espèce. Ils semblent cependant être doué d'une intelligence équivalente à celle d'un autre dragon. On suppose que les individus sont solitaires et, compte tenu des témoignages des quelques cavaliers en ayant aperçu un, agressifs envers toute forme autre de vie intelligente.
D'après l'espacement des témoignages, ont suppose que cette espèce peut entrer en phase de sommeil pendant plusieurs années. Certains avancent plusieurs siècles, mais il est impossible de savoir si les descriptions correspondent au même individu, compte tenu du peu d'éléments fournis.
Les nombreuses histoires font état de miasmes, de « présences », de malédictions, de possession et autres malheurs, mais aucune preuve directe ne laisse penser à la vérité de ces dires.
Niveau de dangerosité : données insuffisantes.
Pouvoirs possibles
Indéterminé. Il semble que certains puissent garder une affinité avec la magie qu'ils utilisaient lors de leur vivant.
Environnement propice à sa croissance
Indéterminé.
Répartition
Indéterminée.
Reproduction
Cette espèce est incapable de toute reproduction sexuée.
Régime alimentaire
Il semble que cette espèce ait un besoin de nourriture extrêmement réduit. Impossible de dire avec certitude. Il semble qu'elle se nourrisse de sang, qu'il provienne d'animaux, d'humains ou d'autres dragons, en l'absorbant par les os. Le processus exacte reste pour l'instant indéterminé.
Statut de l'espèce (DI) Données insuffisantes.
Quelques éléments du dossier:
File1 : Illustration au crayon d'un scribe représentant un dracoliche, dans « l'Encyclopédie des espèces draconiques vol. 1 », ouvrage manuscrit datant de 1512 a.t., écrit sous la direction du pasteur W.T. Orfield.
File2 : Détail d'une gravure d'auteur inconnu, figurant dans un ouvrage manuscrit écrit dans une ancienne langue, dont le titre pourrait se traduire par « Histoires de celui qui garde le Ver », datant vraisemblablement de 1615 a.t. compilé par S.T. Ernest.
File3 : Retranscription dactylographiée d'un enregistrement vocal datant de 1902 a.t. réalisé au village Jerus'lot (maintenant abandonné) situé aux abord de la Bondissante, par le docteur Stephen Norris, dont il ne reste des travaux que le présent enregistrement ainsi que les notes de recherche dont sont tirées la plupart des informations de ce dossier.
Spoiler:
Le début de l'enregistrement vocal est très dégradé et impossible à comprendre. Il semble s'agir d'un entretien réalisé par le docteur avec une femme supposée d'âge avancé dont l'identité est inconnue (ici désigné sous le pseudonyme de Jane).
[…] (Jane parle mais la fin de son discours est incompréhensible)
DOC : Sauf votre respect, Madame, mais tout cela ne relève-t-il pas de la superstition ?
JANE : Superstition ? Superstition ?
(Bruit de choc)
JANE : J'l'ai vu d'mes propres yeux ! Tout comme j'vous vois, là ! Tout puant et immonde ! On aurait dit qu'il avait des morceaux de draps qui pendaient de partout ! Mais c'était pas du tissu, ça non, parce que ça sentait comme chez Jimmy. Mais en pire, voyez ? Chez Jimmy y'a le formol. Là, c'était pire que mille cadavres bouffés par les vers. Ah, j'sais c'que vous pensez, c'est tout dit dans vot' regard !
DOC : Vous vous imaginez des choses, madame.
JANE : J'ai encore toute ma tête, jeunot ! Cette chose était... comment vous l'avez appelé, encore ?
DOC : Un dracoliche.
JANE : (Rire) Ah ! C'était tout sauf un dragon, j'peux vous l'assurer !
DOC : Vous avez peut-être rêvé, après tout ? On m'a raconté que vous passiez beaucoup de temps au bar, ces t-
JANE : (le coupe d'un raclement de gorge) Et le cri, j'l'ai rêvé peut-être ? Ça a fait trembler tout le village ! Le pire, c'est que ce monstre est encore dans le coin, y'a ds signes qui trompent pas ! Tout le monde le sait, mais personne en parle. L'engeance du démon a maudit le village ! Quand un démon arrive, il amène le malheur avec lui ! Les bestiaux meurt, tenez, y'a trois jours, deux de mes plus belles bêtes ont crevé ! Et immangeable, qu'elles étaient ! Leurs estomacs étaient remplis d'vers ! Bouffées de l'intérieur, j'vous dit ! La puanteur du démon corrompt tout ! Ça fait pourrir la mangeaille, ça empoisonne les bête, et tenez, ça souille même les entrailles des femmes ! La pauvre Margaret, avec son bébé ! Né sans yeux, le gamin ! Un enfant monstrueux... Et y'a des choses, la nuit, qui rampent de partout ! Z'êtes allé vers l'église ? Plus personne veut y entrer, même pas le prêtre. Il s'est barré, lui ! Dedans, y'a des trucs pas normaux. Parait qu'on peu toucher l'air tellement que ça pue.
DOC : Ne pensez-vous pas que cela ne sont que des coïncidences ? Ce ne serait pas la première fois qu'une malformation est-
JANE : (le coupe de nouveau) Y'a des signes qui trompent pas j'vous dit ! C'est quand on joue avec la mort, ça fout le chienlit partout. J'l'ai dit à Jimmy, l'aut' jour, c'qui est mort, ça reste mort et c'est marre. Cet espèce de démon sorti de sa tombe, il a ramené toute la pourriture des enfers avec lui.
(Bruits parasites extérieurs) […]
DOC : Ce « démon », pourriez-vous le décrire plus précisément ?
JANE : (raclement de chaise) Ah vous me croyez maint'nant ? Cette chose, son cri m'a glacé jusqu'à la moelle. Tout dégoulinant, avec des trous de partout, et il m'a vu ! Oh seigneur... j'ai prié de nous protéger contre la malédiction ! Quand j'étais gosse, un veau à deux têtes est né, j'me souviens comme si c'était hier ! Mon père, on aurait dit qu'il avait vu un fantôme, et pourtant, c'était un dur mon père j'peux vous l'assurer ! (autres bruits parasites extérieurs) […] et les autres aussi, ils avaient des crasses dans leurs familles.
DOC : Attendez, ce n'est pas la première fois que ce « genre de choses » arrive ?
JANE : J'suis née dans ce village, moi, doc ! Au début personne voulait croire qu'un démon s'était installé près d'chez nous ! On s'dit toujours qu'c'est que des coïncidences, comme vous, quoi ! Puis à un moment, on voit le démon devant soi... Seigneur... ça... ça c'est pas un dragon, c'est sur ! J'sais pas c'que vous avez imaginé, doc, mais c'est très loin de c'que vous pensez ! Un monstre d'outre-tombe revenu pour nous maudire... Un démon j'vous dit. (Elle commence à hausser le ton) Il va v'nir transformer les enfants en chairs difformes ! […] Faut faire quelque chose, doc...
(Des bruits de choc se font entendre, suivi d'un hurlement non identifié. L'enregistrement s'arrête brutalement).
File4 : Photographie prise en 1869 a.t. au Fjord hurlant par le géologue Timothée Rodriguer de l'Institut géologique de Cylnaes, avec un temps d'exposition de trois minutes. Note : le flou du côté gauche de la photographie semble indiquer que cette zone était en mouvements lents.
File5 : Photographie prise en 1945 a.t. à la Vallée des Anciens Goliaths par l'explorateur George R. Winston. Note : au dos de la photographie, des mots manuscrits de la main de G.R. Winston on été partiellement effacés « ligne tellurique 23° 27° sud […] 12 ème meridien est, […]nge ».
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Sujet: Re: Le troisième dragon : complément au rp Dim 30 Oct - 2:28
Recensement des espèces draconiques (suite)
Dragon des marais:
Dragon des marais
Description physique Le dragon des marais mesure une taille moyenne de deux mètres au garrot, pour les plus grands, aussi bien les mâles que les femelles. Leur tête a une forme triangulaire, et leurs mâchoires sont fines, pourvues de crocs déchirants mais aussi, au fond, de molaires pour mâcher les plantes. Leurs écailles ont des couleurs pouvant prendre plusieurs déclinaisons de verts, mais sont souvent couvertes par des longs poils drus.
Leurs cornes ne sont pas faites d'os, mais d'un cartilage rappelant celui des cerfs, leur donnant un aspect d'écorce d'arbre. Il semble que ces bois puissent se modifier tout au long de la vie du dragon, selon son mode de vie ou ses pouvoirs. Selon ce derniers, des pointes cartilagineuses peuvent apparaître sur leur tête, menton ou joues, ainsi que sur le reste de leur corps.
Assez fin, les dragons des marais peuvent se mouvoir dans leur milieu naturel grâce à leur corps longiligne et leurs membranes présentes entre les doigts, facilitant le déplacement en zone humide. Leurs ailes sont détachés de leurs antérieures, et sont en membrane, souvent recouverte de duvet ou de poils laissant passer la chaleur de leur corps.
Les dragons des marais peuvent muer, changeant de cornes mais aussi de poils. Il semble que s'ils vivent longtemps dans un milieu autre que les marécages, leurs poils tombent et repoussent de moins en moins jusqu'à disparition, ne laissant plus que leurs écailles.
On ne note aucune différence notable entre les mâles et les femelles, leurs caractéristiques dépendants de chaque individu.
Description comportementale Les dragons des marais sont amicaux envers les autres espèces intelligentes. Les dragons des marais vivent en famille dans un nid aménagé par les parents. Ce nid est spécialement conçu pour être introuvable à moins d'être guidé, et il semble qu'il soit considéré comme inviolable. Bien que les dragons des marais soient amicaux, ils refusent catégoriquement de montrer leurs nids à un humain ou un autre dragon.
Un couple ne se sépare jamais, même après que les petits aient quittés le nid. Il semble qu'ils apportent volontiers leur aide à quiconque la leur demande, mais sont réticents à quitter les marais. Ils ne démontre aucune agressivité entre les autres dragons, ni envers les humains. Les chercheurs ont put vivre en compagnie d'une famille de dragons pendant plusieurs mois pour étudier leur environnement.
S'ils ne sont pas agressifs, ils démontrent cependant une réticence à s'associer avec une autre famille, même de leur espèce. Très protecteurs, les dragons des marais ne se déplacent jamais tout seuls s'ils en ont la possibilité, et restes très méfiants vis-à-vis des étrangers. Plusieurs chercheurs ont déclarés que si les dragons répondaient volontiers à leurs questions, il s'avèrent qu'ils en posaient aussi beaucoup (voir entretiens annexes).
Visiblement ouverts d'esprit et diplomates, ces dragons évitent le conflit par tous les moyens. De ce fait, aucun dragon des marais n'a put être observé en train de combattre. Leurs magies, s'ils en ont, leurs servent à développer leur marais et parfois, s'amuser avec leur famille. Bien que cette espèce de dragon soit ancienne, il semble qu'elle n'ait commencé que récemment à pouvoir se lier avec un cavalier.
Cette espèce est classé au niveau de dangerosité 1.
Pouvoirs possibles Cette espèce semble se tourner vers des magies liées à ma nature en général, tels les arbres ou la terre. D'après les observations et les expériences réalisées avec ces dragons et leurs cavaliers, on observe que les dragons des marais possèdent une affinité particulière avec les magies élémentaires ainsi que des capacités sensorielles précises pour repérer et maîtriser ce genre de magies.
Environnement propice à sa croissance Ils semblent êtres adaptés aux endroits marécageux, et supporte très mal les températures basses.
Répartition Ils vivent exclusivement dans les marécages à l'ouest de l'île. Car, malgré les recherches menées, aucun n'a été trouvé dans la Tourbe aux serpents.
Reproduction Les dragons des marais font partis des espèces pouvant se reproduire quand bon leur semble (bien qu'une hausse de la fertilité des femelles est enregistrée durant l'automne). Cependant, un dragon choisira un compagnon qu'il gardera tout au long de sa vie, même en restant séparés. Leur mode de séduction est semblable à celui des humains : une fois que les petits sont assez grands pour se débrouiller tout seuls, ils peuvent quitter le nid familiale pour vivre seuls, jusqu'à ce qu'il rencontre un compagnon ou une compagne. Un dragon des marais acceptera un œuf uniquement s'il est certain de vouloir passer le reste de sa vie avec son partenaire. Il est courant que plusieurs siècles s'écoulent avant qu'un couple ne ponde un ou plusieurs œufs. Les portés sont généralement comprise entre un et trois œufs.
Régime alimentaire Le dragon des marais est majoritairement piscivore. Il pêche des poissons dans les rivières, mais peut aussi se nourrir de serpents ou de petits animaux. Cependant, il n'est pas rare qu'ils mangent aussi des plantes ou des fruits pour nettoyer leurs estomacs des résidus, et pour aider à la digestion des viandes coriaces. Leur mode de chasse est semblable à celui de certains félins : ils repèrent une proie et attende près de son terrier qu'elle sorte, profitant de leurs écailles vertes se fondant dans le décor.
Statut de l'espèce (S) Stable
Quelques éléments du dossier:
File1 : Photographie du dragon Talwinh accompagné de sa cavalière Korra A. Matson, le 2 septembre 1889 lors de l'expédition du centre de recherche de Omes-val aux montages de Beor (1er septembre – 25 octobre). Note : Bien qu'étant un hybride, ce dragon présente des caractéristiques communes aux dragons des marais. Suite aux travaux de la cavalière et docteur émérite Korra A. Matson, l'espèce dragon des marais sera reconnu espèce à part entière le 8 août 1892.
File2 : Détails d'une photographie prise en 1896 a.t. au-dessus du marais Strangleronce par le cavalier Ferian Ginger. Il s'agit de la première photographie avérée d'un dragon des marais sauvage.
File3 : Dessin au crayon du docteur J.A. Ereldur réalisée le 9 octobre 1897, présenté comme annexe de sa thèse soutenue le 5 novembre 1897 à l'Institut des sciences draconiques de Lor'danel. Note : La thèse intitulée "Études et expériences comportementales et magiques du dragon des marais", disponible en complément du présent dossier, apporte des éléments d'enquête importants à l'étude de cette espèce.
File4 : Photographie du dragon Yverliron Jr. Prise le 15 février 1982 au Marais de Jade, dragon des marais ayant côtoyé le chercheur Hervé Delige durant la duré de son enquête de terrain, lors de l'hiver 1966. Note : les cornes de cartilage sont particulièrement développé chez cet individu, indiquant une affinité particulière envers la magie arboricole. On remarque également les poils faisant penser à des racines d'arbre.
File5 : Photographie d'une caméra de surveillance à détecteur de mouvement, prise le 26 juillet 1986 au marais Strangleronce. Note : le visionnage du cliché démontre que l'être en photographie semble composé entièrement d'arbres. Après des études plus poussées, il semble qu'il s'agisse en réalité d'un tulpa de bois, ce qui explique que ce "dragon" n'ai jamais été retrouvé.
Description physique Cette espèce de dragon ayant disparue, les scientifiques ne disposent d'aucune photographie des dragons vikings. La description ci-dessous est fondée sur des écrits ou des œuvres picturales et est susceptible d'être modifiée si d'autres sources surviennent.
Le mot draakenssion désigne, dans un ancien langage sudiste aujourd'hui disparu, un dragon aux cornes spécifiques. Le mot pourrait se traduire par "dragon aux cornes de démon".
Cette espèce était particulièrement grande, à en juger par la taille des cavernes où la plupart des ossements ont été retrouvés. Sa taille maximum au garrot est estimée à 11 mètres. On retrouve des points communs, notamment la couleur des écailles qui est toujours sombre. Leur tête semble pourvue d'un museau court, mais ce qui ressort toujours, c'est la forme des cornes. Il semble qu'ils puissent être doté de deux ou quatre cornes, qui partent vers l'arrière en se recourbant, ce qui lui doit sont surnom de Dragon viking. Leurs crânes sont pourvus de deux rangées de crocs, ainsi que de petites orbites enfoncées. Faits surprenants, la forme des os de leurs pattes laisse penser qu'ils étaient pourvu de cinq doigts et de pouces opposables, leur permettant peut-être de saisir des choses comme le ferait un humain. De plus, la forme de leur colonne vertébrale laisse penser qu'ils pouvaient se déplacer aussi bien à quatre patte que sur deux. Le reste de ses caractéristiques ne peut être déterminé avec précision du fait de la divergence des œuvres picturales le représentant.
Description comportementale Le comportement de ce dragon reste très flou malgré les recherches menées. Il semble qu'il ait été d'une certain agressivité envers les humains, si l'on en juge par le nombre d'œuvres les décrivant en train d'attaquer des hommes.
Il est cependant impossible de décrire le mode de vie de ses dragons, la plupart des histoires ne relatant que des faits héroïques d'humains réussissant à tuer un draakenssion.
Selon les ossements retrouvés, on peut supposer qu'ils vivaient seuls et étaient sédentaires. Certaines marques de crocs laissent penser qu'ils avaient des tendances cannibales. Chose inhabituelle : des lourds morceaux de fers aiguisés ont été retrouvé dans les cavernes, l'hypothèse soulevée étaient qu'ils pouvaient fabriquer certaines armes, supposition appuyée par la forme de leurs pattes, ressemblant fortement à des mains.
Les raisons de leur disparition sont floues, mais on suppose qu'il s'agit de la convergence d'une chasse trop intense de la part de l'homme et d'une hybridation perdant les gènes de l'espèce.
Données insuffisantes pour déterminer un niveau de dangerosité.
Pouvoirs possibles Indéterminés. On peut supposer qu'ils pouvaient cracher du feu, au vu des représentations et des marques de brûlure sur les pierres de leurs cavernes.
Environnement propice à sa croissance Indéterminé.
Répartition Selon les ossements retrouvés et les différents anciens écrits, on peut suppose que ces dragons vivaient au sud de l'île, et/ou vers les zones peu éclairées par le soleil (les Terres fantômes et l'îlot aux Jagueros sont les lieux les plus cités, bien que pour l'îlot aux Jagueros, la dangerosité de ce dernier a rendu les recherches très compliquées et peu fiables).
Reproduction Indéterminée. Très peu de coquilles d'œufs on été découvertes, et la plupart dans des grottes aux abords sud de la mer Australe.
Régime alimentaire Indéterminé. Le forme des crocs sur les ossements retrouvés tend à un lourd régime carnivore.
Statut de l'espèce (E) Éteinte
Quelques éléments du dossier:
File1 : Illustration au crayon d'auteur inconnu, présente dans le recueil de nouvelles "Les temps de grandes calamités" datant vraisemblablement de 1552 a.t. Recueil de contes oraux compilés et mis en forme par le conteur J.M. Lanier. Note : on remarque la forme particulière des pattes aux cinq doigts.
File2 : Fresque murale découverte le 8 mars 1851 a.t. par l'explorateur J.R.R Delon, présente dans le temps d'un village abandonné situé au nord-ouest des Terres fantômes, et datant des années 1600 a.t. Note : La fresque est étonnamment bien conservé, et semble raconter l'histoire d'un héros se battant contre le monstre draconique représenté à droite. On remarque la forme particulière des cornes, laissant penser qu'il s'agisse bel et bien de la représentation d'un draakenssion.
File3 : Détail d'une gravure d'auteur inconnu, présente dans le manuscrit "La légende des Arkhens" datant de 1596 a.t. La gravure représente une horde de démons attaquant ce qui semble être un îlot flottant. Note : Le draakenssion se trouve au milieu de ces démons et il semble que le graveur ait apporté une attention particulière à la réalisation de cette zone.
File4 : Peinture sans titre de 1598 a.t. signée d'une certaine "Jinora", retrouvée dans le grenier de l'église de l'ancien village Zaofu (aujourd'hui abandonné) par Saul Thomas, le 22 avril 1952 a.t. Note : à l'arrière du tableau, une note manuscrite à été inscrite "celui qui trop combat le dragon devient dragon sois-même. Médite ça, sale vaurien."
File5 : Photographie prise le 25 juillet 2015 a.t. par le chercheur F. Signr de l'université des sciences draconiques de Cylnaes, alors qu'il explorait le cimetière du village Southern (détruit depuis la guerre) situé au sud de la Vallée des Anciens Goliaths. Le chercheur a déclaré que la forme imposante avançait très lentement, et qu'à la seconde ou l'appareil photo s'est déclenché, elle a reculé et a disparu aussi vite qu'elle était apparue. Malgré ses recherches, il n'a pu retrouver cette bête. Note : la similitude de la forme des cornes avec celles des draakenssion est troublante. Cependant, en l'absence de preuves plus conséquentes, le statut de conservation du dragon viking n'a pas été changé et l'espèce demeure donc considérée comme (E) Éteinte. Cependant, des recherches actives sont menés dans la région de Southern. L'affaire reste en cours.
Description physique Cette espèce de dragon est majoritairement aquatique, bien que pouvant parfaitement se mouvoir sur terre et dans les airs. Ils mesurent une taille moyenne de deux mètres au garrot pour les plus grands, et ont des membres plutôt trapus. Leur tête est généralement ornées de crêtes nucales et jugales, et ils possèdes des branchies qu'ils peuvent ouvrir et fermer à volonté. Leurs branchies sont généralement cachés derrière leur crête jugale pour les protéger du vent, et sont assez sensibles au froid. Les dragons naufrageurs ne possèdent généralement pas de cornes, bien que certains individus issus d'hybridations soit pourvu de petites cornes. Leurs écailles peuvent avoir des couleurs se composant de nuances de bleus, de verts, de gris et de noir.
Leurs corps sont assez longilignes, leurs pattes sont courtes et pourvues de cartilage entre leurs doigts, leur permettant de se mouvoir dans l'eau. Leurs ailes font penser à des nageoires et sont majoritairement plus petites que celles des dragons communs. Les dragons naufrageurs possèdent des articulations supplémentaires sur les ailes, augmentant leur possibilité de mouvement sous l'eau. Leur queue se termine par des nageoires plus ou moins grande, rappelant les nageoires caudales des poissons.
Description comportementale Le nom dragon naufrageur ne sort pas de nulle part, car ces dragons vivent avant tout au bord des grands lacs et des mers, et prenaient un malin plaisir à faire s'échouer les bateaux sur les récifs ou les plages en changeant la direction des vagues. Aujourd'hui, avec la diminution de la navigation, la modernité grandissante des bateaux et le rapprochement de l'espèce envers les humains, les dragons naufrageurs ont cessé de s'en prendre aux bateaux. Cette espèce vit en grand groupe, pouvant atteindre une centaine d'individus, voire plus. Ils sont sédentaires, et vivent dans des cavernes qu'ils creusent eux-même dans les falaises en bord de lac ou de mer. Ils n'acceptent pas l'intrusion dans leurs domaines, alors il est très déconseillé de s'approcher des zones de vie de ses dragons.
Le comportement de cette espèce envers l'humain s'est modifié à travers les siècles. Terreur des bateau et des bords de mer, leurs principale activité était de s'attaquer aux bateau, détruisant leur coque, et les pillant de leurs contenu, avant de rapporter leur butin dans leurs caverne. Avec la liaison de certains des leurs avec les humains, les dragons naufrageurs se sont calmés et les attaques ont diminué. Ils est cependant très déconseillé de naviguer près des côtes connues pour abriter des cavernes de dragons naufrageurs.
Cette espèce est assez violente, envers les autres dragons mais aussi envers elle-même. Les petits sont encouragés à jouer en se battant, et il n'est pas rare que les adultes résolvent les conflits avec un combat. Les adolescents sont cependant les pires, selon les dires des cavaliers s'étant liés avec un jeune dragon. Fiers et souvent un peu arrogant, les dragons naufrageurs fonctionnent, avec les humains, dans une relation de dominant/dominé, et les cavaliers doivent souvent faire preuve de fermeté pour réussir à lier une relation forte avec le dragon.
Cette espèce est classé au niveau de dangerosité 2.
Pouvoirs possibles Les dragons naufrageurs, contrairement à certaines idées reçues, ne développe pas spécialement des magies liées à l'élément eau, mais sont plutôt tournés vers les pouvoirs de type physiques et défensifs.
Environnement propice à sa croissance Les grandes étendues aquatiques tels les lacs et les mers. Les dragons naufrageurs vivent dans des grottes humides et chaudes, mais aussi dans les mangroves.
Répartition Les plus grands groupes sont situés aux bords des mers Abyssion et dans les mangroves de l'ouest, sur l'île Septentrionale.
Reproduction Les dragons naufrageurs ont un comportement semblable aux humains. Les petits sont élevés par leurs parents, mais il n'est pas rare qu'ils aient des demi-frères ou des demi-sœurs, car les dragons naufrageurs ne reste pas toute leur vie avec le même compagnon. Les familles sont donc souvent plutôt nombreuses et très dispersées. Une fois leur maturité sexuelle atteinte, les jeunes peuvent continuer de vivre avec leurs parents, mais se mette en quête d'un premier partenaire pour fonder leur propre famille. Il peut s'écouler plusieurs années avant qu'un couple ne donne un premier œuf. Ces derniers, entre un et quatre par portée, sont pondu au fond de l'eau et couvé à tour de rôle par les parents. Les œufs ont un développement très lent et peuvent mettre plusieurs siècles avant d'éclore. Durant le temps de couvaison, les parents restent ensemble, ainsi que pendant les premières centaines d'années de vie des jeunes dragons.
Régime alimentaire Cette espèce se nourrit de poisson, mais aussi de différentes algues. Ils peuvent aussi manger l'écorce des arbres des mangroves. Leurs estomacs ont des acides puissants pour résister aux poisons de la faune vivant dans ce genre de milieu.
Statut de l'espèce (V) Vulnérable.
Quelques éléments du dossier:
File1 : Ancienne carte dessinée à la main, supposé datée des années 1650 a.t., d'auteur inconnu, retrouvée dans l'ancienne mairie du village de Pierrèche situé au bord de la mer Abyssion. Il s'agit d'une représentation approximative de trente kilomètres de la côte Est. Note : on remarque l'indication latine "Hic sunt dracones" au milieu de la carte, ("ici sont les dragons") souvent marquée sur les cartes pour désigner une zone inexplorée et/ou dangereuse. Sur l'îlot désigné se trouve effectivement des cavernes abritant encore aujourd'hui une petite population de dragon naufrageurs.
File2 : détails d'une carte manuscrite mesurant deux mètres sur trois, datée de novembre 1712 a.t, d'auteur inconnu, aujourd'hui affichée sous verre à l'entrée de l'Institut des sciences maritimes de Colinwood. Il s'agit d'une représentation de la mer Nordique. Note : les monstres marins et autres serpents aquatiques sont souvent représentés dans les grandes étendues d'eau sur les cartes.
File3 : Gros plan d'une photographie prise le 18 décembre 1866 a.t., d'auteur inconnu. Il s'agit de la première photographie avérée d'un dragon naufrageur. Les crêtes nucales et jugales sont bien visibles et développées.
File 4 : Tapisserie retrouvée le 30 janvier 1996 par la cavalière Julia D. Robin, docteur spécialiste des dragons naufrageur, dans une ancienne caverne de nidification aux abord de la mer Abyssion. Note : La tapisserie semble dater du dix-septième siècle, et son mode de fabrication est habituellement trouver dans des villages beaucoup plus au nord. On suppose que la tapisserie est un ancien butin de naufrage.
File5 : Photographie prise le 28 juin 2005 lors de l'expédition de cartographie de la mer Abyssion (Code Cart.96, détails de l'expédition disponibles aux archives de l'Institut des sciences maritimes de Colinwood). Photographie de Julia D. Robin et son dragon Néfarian, prise par leur assistant Luc Alford. Le dragon Néfarian est l'un des premiers dragons naufrageurs s'étant lié à une famille de cavalier.
Description physique La principale caractéristique du Pale Mureidis sont ses écailles blanches. C'est un dragon entièrement albinos. Il est impossible de définir une taille maximum, car cette espèce semble pouvoir grandir tout au long de sa vie. Le plus grand observé est estimée à une taille de 45 mètres (voir File2). Leurs corps et leurs membres sont généralement fins, lorsqu'ils sont à la taille moyenne des dragons communs. Leurs caractéristiques sont proche de ces derniers, excepté leurs corps blancs. Leurs ailes peuvent être en plumes ou en membranes. Leurs têtes ont une forme plutôt triangulaire, et leurs cornes partent vers l'arrière. Leurs caractéristiques physiques précises sont difficiles à déterminer à cause de leur aspect vaporeux. Il est même supposé qu'en grandissant, le corps des Pale Mureidis subisse une sorte de fusion avec cet élément, le faisant devenir aussi léger que de la fumée. Ceci expliquerait pourquoi, malgré leur taille, aucun Pale ne peut être facilement observé. De plus, il est fortement possible qu'un Pale Mureidis puisse modifier la taille de son corps à volonté une fois qu'il a atteint une certaine maîtrise de sa magie.
Il semble qu'un Pale Mureidis grandisse beaucoup plus lentement que la moyenne des autres espèces. De ce fait, ils atteignent la taille adulte des dragons communs alors qu'ils ne sont qu'adolescent.
Cette espèce semble avoir une prédisposition génétique à la cécité.
Description comportementale À cause de la difficulté d'observation, le comportement des Pale Mureidis ne peut être décrit avec précision. Seulement quelques éléments sont inscrits, grâce aux témoignages de dragons de cavaliers.
Aucun dragon appartenant à cette espèce n'a pu être observé en interaction avec un autre dragon de son espèce, ni avec un humain. D'après les dragons en ayant côtoyé un et ayant accepté de répondre aux enquêtes, il semble que les Pale soient des dragons au tempérament discret et passif, et ce, même pendant leur adolescence. Ils possèdent une intelligence équivalente à celle d'un autre dragon, et sont nomades. Ils évitent les interactions avec les autres espèces intelligentes jusqu'à ce qu'ils se mette en quête d'un compagnon.
Aucun dragon de cette espèce n'a été lié avec un cavalier.
Cette espèce est classé au niveau de dangerosité 1.
Pouvoirs possibles Il semble que cette espèce développe exclusivement des pouvoirs liés à l'élément air, et puisse fusionner son corps avec, lui donnant un aspect fantomatique.
Environnement propice à sa croissance Indéterminé.
Répartition Indéterminée avec précision. Il est cependant suppose qu'ils puissent vivre partout sur l'île.
Reproduction Il y a peu d'informations sur le mode de reproduction des Pales entre eux, car aucune coquille d'œuf ou nid n'a pu être retrouvé. On suppose que les Pales peuvent prendre forme physique lorsqu'il désirent rechercher un partenaire et obtenir un œuf. Il semble qu'ils puissent s'adapter facilement à la période et au mode de reproduction de l'espèce de leur compagnon (par exemple, si l'espèce à l'habitude d'élever leur petits en couple, alors le Pale restera). Cette espèce semble avoir une faculté d'adaptation et d'intégration particulièrement importante. Fait étrange, il semble qu'ils ne se reproduisent en priorité qu'avec d'autres espèces de dragons. Les gènes Pale étant récessifs, les scientifiques supposent que le gêne albinos des dragons en général vient d'une très ancienne hybridation. Ainsi, n'importe quelle lignée de dragon ayant un ancêtre s'étant reproduit avec un Pale peut donner naissance à un petit albinos. Autrement dit, un dragon entièrement blanc a des chances d'avoir des gènes latents de Pale dans son sang. Les scientifiques sont pour autant incapables d'expliquer comment une espèce a pu survivre aussi longtemps sans que ses individus ne semblent se reproduire entre eux. Si les petits albinos d'autres espèces ne sont pas si inhabituels, ils ne sont pas considérés comme appartenant à l'espèce Pale Mureidis, car ne démontrent aucune habilité ou compétence magique dont sont capable les Pale.
Régime alimentaire Il semble qu'ils puissent parfaitement s'adapter au régime alimentaire de leur compagnon ou de leur groupe d'intégration. Leur régime de base reste indéterminé.
Statut de l'espèce (M) Menacé.
Quelques éléments du dossier:
File1 : Photographie nocturne non-datée et anonyme, prise vraisemblablement au Cap Tol Barad, vers le début du vingtième siècle, mise en première page du journal quotidien CapNews (plus en activité de nos jours) datant du 4 octobre 1902 a.t. La coupure de presse mentionne le gros titre "Un dragon fantôme dans la ville ?", mais l'article n'est qu'une compilation de témoignages et de rumeurs. Cependant, les analyses picturales ont démontré que le cliché n'était pas retouché.
File2 : Photographie datée du 10 mai 1918 a.t. prise par l'explorateur George Martin au nord-est de Tereldor. Le cliché est accompagné d'une note manuscrite au dos "Il faisait très nuageux, le dragon est arrivé si silencieusement que je n'entendais pas même le bruit de ses ailes battant l'air... elles semblaient se mélanger avec le ciel. Il a freiné alors qu'il venait de passer au-dessus de ma tête, puis il a soudainement prit de l'altitude et s'est fondu dans les nuages. G.M. 10/05/1918"
File3 : Enregistrement audio réalisé par le groupe de recherche étudiant dirigé par le docteur Earl Hector le 14 novembre 2001 a.t. au Fjord hurlant. Description : enregistrement d'un hurlement de menace et son écho (les bruits parasites ayant été nettoyés de l'enregistrement). Le chercheur et ses étudiants (liste complète disponible à l'annexe 5.2) ont témoigné avoir pu observer un Pale marcher quelques secondes le long d'une falaise de glace, accompagné d'un dragon bleu, puis disparaître en même temps que ce dernier prit sont envol.
File4 : Photographie prise début décembre 2005 a.t. du dragon Venaer, par son cavalier Ed. Michaelis, lors d'une expédition aux Serre-rocheuses (Code Pirhana.78. Détails de l'expédition disponibles aux archives de l'Institut des recherches magiques de Colinwood). Ce dragon présente certaines caractéristiques d'un descendant de Pale. Note : Le dragon Venaer est aveugle de naissance.
Description physique Le nom dragon estival vient du fait que les petits naissent toujours en été, aux alentours du solstice. Il peut aussi, de manière plus rare, être appelé dragon chinois ou dragon asiatique, en référence à la zone Terrestre où il est le plus représenté ainsi (cette appellation est peu commune et parfois utilisée par les natifs de la Terre).
Le dragon estival a un aspect bien reconnaissable. Son corps est long et longiligne, à la manière d'un serpent, et ses pattes sont généralement courtes, il ne mesure généralement pas plus haut que les deux mètres en haut de sa tête. Il n'est pas pourvu d'ailes bien qu'il puisse voler. Son corps peut être recouvert d'écailles ou de cuir, et ils possèdent généralement une crinière tout le long de leur échine, parfois ponctuée de quelques plumes. Ces caractéristiques se retrouvent souvent au sein d'une même lignée. Ils peuvent avoir toutes sortes de couleur d'écailles ou de poils.
Leur tête est plutôt allongée, les plus anciens peuvent être pourvues de longues moustaches de chaque côté de leur nez. Leurs cornes peuvent avoir des formes diverses, bien que les plus observés sont longues et fines, parfois rappelant des bois de cerfs. Certains dragons observés présentent aussi des caractéristiques communes avec le museau des félins.
Description comportementale Les dragons estivaux ne sont pas reconnus pour une quelconque agressivité envers l'homme ni les autres espèces de dragons. Ils sont généralement calmes et sereins, bien que chaque individus possède évidement ses propres habitudes caractérielles.
À l'état sauvages, les dragons estivaux vivent uniquement seuls ou en couple. Pouvant vivre particulièrement vieux, il arrive qu'un dragon estival ait plusieurs partenaire dans une vie. Cependant, il semble qu'ils recherche la compagnie de leurs semblables, et apprécient les conversations avec les autres espèces. S'ils évitent souvent les conflits, il semble qu'un dragon estival peut parfaitement faire preuve d'agressivité s'il est poussé à bout.
Ils sont généralement sédentaires, et vivent le plus souvent dans des cavernes dans les hauteurs des montagnes ou les falaises. Certains investissent aussi les constructions humaines abandonnées, comme les anciens temples par exemple, ou même les grands bâtiment des villages tels les églises ou les bibliothèques. Il semble que cette espèce ne soit pas spécialement territoriale et accepte les passages sur son domaine, et qu'ils aient tendance à partir de leur refuge si un autre dragon vient s'installer trop prêt de lui.
Cette espèce est classé au niveau de dangerosité 1.
Pouvoirs possibles Tous les dragons estivaux peuvent voler malgré l'absence d'aile (et ce, dès leur naissance contrairement à la plupart des autres espèces). Ils peuvent avoir toutes sortes de pouvoirs et de magies.
Environnement propice à sa croissance Aucun environnement n'est plus propice qu'un autre, bien qu'il semble que cette espèce apprécie les grands espaces tels les landes ou les steppes.
Répartition Toute l'île.
Reproduction Cette espèce semble démontrer une préférence pour ses semblables, mais il n'est pas impossible qu'il choisissent un autre dragon comme partenaire. Une femelle dragon estival ne peut pondre qu'un seul à la fois, et l'œuf sera soigné par le couple. Cette espèce a un temps d'éclosion bien plus élevé que les autres, et très différent d'une famille un autre. Un petit pourra très bien mettre cinq siècle à éclore comme il pourra en mettre dix. Le seul point commun est que l'œuf éclora forcément durant l'été, durant les jours les plus chauds. Une fois le petit éclot, il passera son enfance avec ces deux parents qui se chargeront de son éducation. Adolescent, il sera libre de rester ou de quitter le nid lorsqu'il le désirera, et il n'est pas rare qu'il revoie ses parents même après que lui-même ait eut un œuf.
Régime alimentaire Les dragon estivaux sont omnivores, ils peuvent manger aussi bien de la viande que des fruits et, chose surprenante, de la nourriture humaine comme des féculents, du pain ou des produits laitiers (bien qu'il soit déconseillé d'en donner trop souvent au dragon même s'il aime cela).
Statut de l'espèce (S) Stable
Quelques éléments du dossier:
File1 : Photographie réalisée en 1889 a.t. d'auteur inconnu, de Raikurion, dragon estival du cavalier Yve H. Gimbson. Le cliché est intéressant car il s'agit ici d'un des quelques dragons de cette espèce à présenter cette forme de museau se rapprochant des museaux des félins.
File2 : Peinture sur toile datant vraisemblablement du dix-huitième siècle a.t., découverte au temple du village Madisren sur l'île Chutelune en 1899 a.t. par le docteur J.K. Pers.
File3 : Photographie prise le 6 juin 1905 d'auteur inconnu, de la cavalière Nai Ferdisan et de sa jeune dragonne Silnaë, lors du spectacle de la fête des moissons d'Ormes-val.
File4 : Cliché prit le 26 août 2008 par le fermier George Derdignan, aux abords du fleuve Ethers. La taille impressionnante de cette individu est très inhabituelle. Malheureusement et malgré des recherches, le dragon n'a pas pu être retrouvé. Les analyses ont démontrées que ce cliché n'était pas retouché.
Description physique Les Brasserians sont des dragons plus petit que la moyenne des dragons communs, ils mesurent en général environ 1 mètre 50 au garrot. Leurs écailles sont généralement de couleur cuivrée ou dorée, bien que certains puissent avoir des couleurs tirant plus sur l'argenté. Leur tête a un museau fin, et ils n'ont pas de cornes mais plutôt une plaque cartilagineuse à l'arrière du crâne, seuls les mâles peuvent avoir parfois des longues cornes. Leurs yeux peuvent être de couleurs très diverses.
Leur particularité principale est la forme de leurs ailes. Contrairement aux autre espèces, leurs ailes sont accroché à la majorité de leur corps, et présentent au moins une dizaine d'arêtes pour la plupart articulées. Si bien qu'ils ne peuvent pas replier leurs ailes comme le ferait les autres espèces. Cette forme particulière leur sert à planer sur de très longues distances, et permet de maintenir le reste de leur corps dans une position de vol sans efforts, profitant des vents ascendants.
Ils sont parfois assez trapu, et leur échine est généralement parcourue d'une épine dorsale. Leur queue présente deux crêtes, la fin de leurs ailes. Ces dernières ont des sortes de fibres et son parsemées de nerfs très fin, les rendant particulièrement sensibles au moindre changement d'air, mais aussi, de ce fait, à la douleur.
Description comportementale Les dragons Brasserians vivent en groupe d'une petite dizaines d'individus, pour la plupart appartenant à la même famille. Ils peuvent se montrer très agressif envers l'humain, et même si cela dépend de chaque individu, la prudence est requise pur quiconque souhaite approcher de leurs cavernes, même pour un cavalier.
En dehors de leurs lieux de vie, ces dragons ne semblent pas spécialement agressifs, mais ils restent tout de même assez hargneux envers les autres espèces et aussi envers les hommes. Très fiers d'eux mêmes, ils n'acceptent qu'un profond respect de leurs interlocuteurs s'ils ne veulent pas se faire attaquer. Le respect est d'ailleurs de mise dans leurs familles, les petits sont éduqués très tôt à savoir se soumettre aux adultes. Leurs capacités au combat sont encouragés dès la naissance, car aucune famille de Brasserians n'accepterait d'avoir un membre "faible" parmi eux. Il n'est pas rare de croiser un dragon de cette espèce portant plusieurs cicatrices, car les tentatives de rebellion sont sévèrement sanctionnées par les parents. Si bien que la plupart des jeunes quittent leurs famille assez tôt.
Ils semblent particulièrement aimer terroriser les humains qui s'approchent trop d'eux, mais cela ne reste que de l'intimidation, pour éviter qu'un dragon Brasserian passe à l'attaque, il semble que se montrer soumis est l'attitude à prendre lors d'une interaction avec un membre de cette espèce.
Cette espèce est classé au niveau de dangerosité 3.
Pouvoirs possibles Les Brasserians développent généralement des magies liées aux éléments, ou psychiques, mais plutôt dans un but défensif. Ils peuvent pourtant aussi pratiquer des pouvoirs plus exotiques.
Environnement propice à sa croissance Les endroits particulièrement aérés et les grandes étendues venteuses.
Répartition Les Brasserians vivent en priorité dans des endroits très venteux. Leurs cavernes sont creusées directement dans la parois d'une île, et donnent donc sur le vide, les rendant inaccessible aux moyens terrestres. On n'en dénombre le plus sur la côte ouest de l'île principale.
Reproduction Les dragons de cet espèce peuvent avoir plusieurs partenaires dans toute une vie comme n'en avoir qu'un seul, cela dépend de la préférence de chaque individus. Les petits quittent leurs famille une fois l'âge adulte atteint, mais ils ne semblent pas que fonder leur propre famille soit leur priorité. Leur période de reproduction est durant le printemps, mais ces dragons semble ressentir un besoin de reproduction beaucoup plus tard que chez d'autres espèces. Leur âge adulte est donc déjà avancé lorsqu'ils entreprennent de chercher un partenaire. Une femelle choisira le mâle qu'elle préférera, et pondra un ou deux œufs dans une profonde caverne dans la parois d'une falaise. Il semble que plusieurs couples peuvent vivre dans la même caverne et s'occuper mutuellement des œufs quand les autres vont en chasse, formant alors un petit groupe. Les individus de ce groupe semble se considérer comme une seule famille et n'accepte pas l'intrusion d'une autre dans leurs zone.
Régime alimentaire Cette espèce est exclusivement carnivore, et se nourrit majoritairement de grands oiseaux attrapés en plein vol. Ils chassent aussi les herbivores des plaines.
Statut de l'espèce (QM) Quasi menacé
Quelques éléments du dossier:
File1 : Page manuscrite de l'Encyclopédie des espèces draconiques vol. 1, ouvrage datant de 1512 a.t., écrit sous la direction du pasteur W.T. Orfield, représentant un début d'étude sur la morphologie des Brasserians. Les informations y figurant sont correctes.
File2 : Dessin présent dans un ancien livre d'images pour enfants retrouvé dans une maison abandonnée du village Baltimoor, situé au sud du Cap Tol Barad, le 9 janvier 1915 par l'aquipe de recherche dirigée par le professeur R.J. Lupin. Note : on remarque l'inclinaison de ses dragons pour l'intimidation et d'autres formes de peur.
File4 : Photographie prise en septembre 1979, par le cavalier M. Martin, de son dragon Ultraxion. Note : On remarque la présence inhabituelle de longues cornes partant vers l'arrière, spécificité présente uniquement chez certains mâles de l'espèce.
Description physique Les dragon auroral son une espèce assez proche des dragon communs, mais ils possèdent assez de caractéristiques spécifiques pour les classer en tant qu'espèce à part entière. Ils mesurent environ dans les 2 mètres au garrot, et leurs écailles sont généralement d'un bleu nuit aux variantes parfois orangées sur certains individus. Leur tête est assez allongée, et leur museau est fin. Leurs cornes partent vers l'arrière et son majoritairement assez fines. Leurs ailes sont quelques peu différentes des autres espèces, car elles possèdent entre trois et quatre "doigts" internes à la membrane, ainsi qu'un doigt externe au niveau de la seconde articulation. Chaque doigt possède des griffes déchirantes assez grandes.
Le long de leur dos se trouve généralement une petite crinière aux tons sombres. Leurs deux principales caractéristiques sont le bout de leur queue, où se trouve toujours une sorte d'appendice métallique (comme des lames pouvant prendre des formes diverses), et leurs corps ponctués de zones phosphorescentes, qui sont visibles une fois la lumière basse. Ces zones sont généralement des points ou des lignes sans écailles, où leur peau est directement atteignable.
Description comportementale À cause de leur faible nombre, une description comportementale précise de l'espèce est impossible. La description n'est fondée que sur les études menées sur le petit nombre restant.
Il semble que cette espèce sois nomade et préfère vivre dans des cavernes cachées dans les zones sud de l'île, dans les endroits ou le soleil ne se lève complètement que rarement. Ils sont plutôt solitaire et évite les contacts avec les autres espèces lorsqu'ils le peuvent, en ce qui concerne les dragons sauvages.
L'espèce ne démontre pas d'agressivité particulière envers les humains et n'est pas spécialement territorial. Les faibles observations d'un dragon auroral en interaction avec un autre de son espèce ne peuvent pas constituer des éléments vérifiés et avérés. Il est donc supposé que ces dragons vivent en couple lorsqu'il le peuvent et cherchent à agrandir leur famille en rencontrant d'autres dragons de leur espèce.
Cette espèce est classé au niveau de dangerosité 1.
Pouvoirs possibles Indéterminé avec précision, mais il semble qu'ils puissent avoir des magies de types psychiques.
Environnement propice à sa croissance IL semble que cette race privilégie les endroits au sud de l'île. Des traces d'un ancien groupe ont été repérées dans les Monts dos-de-hérissons.
Répartition Indéterminée.
Reproduction On suppose que ces dragons vivent en couple et peuvent se reproduire toute l'année. Une femelle ne peut pondre qu'un seul œuf par portée et ne pourra plus en porter avant plusieurs années, généralement pas avant que le petit ne soit entrée dans l'adolescence. Les couples restent ensemble pour s'occuper de leurs petits et même après que ce dernier soit entré dans l'âge adulte. Il semble qu'ils ne gardent pas spécialement de contact avec leur famille bien que cela dépend des préférences des individus.
Régime alimentaire Cette espèce est carnivore et semble se tourner avant tout vers les viandes d'herbivores ou le poisson. Il est cependant admis qu'ils peuvent également se nourrir de fruits ou des plantes dans un soucis d'équilibre.
Statut de l'espèce (ED) En danger critique d'extinction
Quelques éléments du dossier:
File1 : Peinture d'un dragon auroral réalisée par le peinte Léo D. Vince, en 1775. Malgré le peu d'informations sur l'espèce à l'époque, le peintre a réalisé une peinture plutôt fidèle de la morphologie d'un dragon auroral. On suppose qu'il a eut un modèle vivant.
File2 : Photographie prise le 30 novembre 1906 par le groupe de recherche du docteur S. Rogue, durant l'expédition aux Monts dos-de-hérissons (Code Heris.56 détails de l'expédition disponibles aux archives de l'Institut des sciences draconiques de Cylnaes). Note : le groupe a déclaré que l'individu marchait lentement dans la plaine, et s'est envolé quelques minutes après la prise du cliché.
File3 : Photographie datée de mars 1989, du dragon Deringer, dragon sauvage sans cavalier ayant accepté de se laisser étudier. Le cliché est d'auteur inconnu mais a été retrouvé dans un ancien dossier de l'équipe Serko.66, ayant participé à l'expédition du Grand Sud se déroulant la même année.
File4 : Photographie prise en avril 2010 de la jeune dragonne auroral Nythenda, par sa cavalière Emma S. Smith. Cette dernière et sa dragonne seront malheureusement tuées durant la guerre ayant opposé l'île aux cavaliers noirs. Note : l'appendice métallique en forme de lame présente ici une forme encore jamais observée. Il semble que ces armes soient pour autant totalement naturelles. Les informations restent pour autant insuffisantes pour déterminer le moyen et la période de formation de celles-ci.
Messages : 238 Age : 30 Date d'inscription : 16/11/2014
Sujet: Re: Le troisième dragon : complément au rp Lun 14 Nov - 23:20
Recensement des espèces draconiques (suite)
Basilic noir ou ("Dragon-serpent du diable"):
Basilic Noir
(Ou dragon-serpent du diable)
Toutes les informations proviennent d'un recueil du Moyen-Âge terriens, aucune donnée récente n'a été retrouvée.
Description physique "Une fois adulte, sa taille est si grande qu'il faudrait allonger au moins une centaine d'homme les uns derrières les autres pour réussir à longer tout son corps. Son museau est si fin qu'il peut s'en servir de lance mais ce serais une erreur de croire que son crâne est fragile, les os de dragons sont les plus solides de tous. Sa tête est ornée de plusieurs cornes, le nombre changeant selon les individus, il arrive que certains n'en ont pas. Dans sa gueules sont rangées une multitudes de dents noires et tranchantes accompagnées de quatre crochets sur la mâchoires supérieur comme ceux des serpents. Ce dragon est le fils direct du diable, ne croisez surtout pas son regard où vous y verrez l'enfer et perdriez votre âme. ses écailles sont extrêmement noir à cause du fait qu'il a grandi en dormant sur des charbons ardents, sa peau est d'ailleurs si chaude qu'elle peut faire fondre les lames. Le Diable a accroché sur son dos deux ailes pour pouvoir atteindre les anges et les dévorer mais il est si gourmand que son poids l'empêche de s'envoler. Il a également pattes pour l'élever du sol mais la perfidie est si lourde à porter qu'il préfère en général se mouvoir sur la terre directement."
Paragraphe 2; Chap. 5 Etude des êtres fantastiques, Frère Agrève
Description comportementale "Cet être est dominé par des instincts primaires, ne cherchant pas à s'élever. Il dévore tout sur son passage, aussi bien les animaux que les êtres humains, n'hésitant pas à tout détruire pour parvenir à son but. Une fois repus, il retourne dans les marais pour s'y enterrer jusqu'à son prochain repas. Ce dragon est plutôt paresseux et ne sort pratiquement que pour se nourrir. Parfois, il s'enterre près d'un chemin fréquenter guettant sa prochaine proie. Il est également très territorial, lorsqu'il rencontre un semblable ou un dragon d'une autre espèce, il n'hésite pas à engager un combat violent jusqu'à ce que l'intrus déguerpisse, se fasse tuer ou que lui même meurt. Très borné, il n'abandonnera pas. Très fier, il s'installe parfois dans les villages qu'il a détruit ou décors les alentours de son nid d'objets ou de reste de proie pour montrer ses prouesses, très cupides, ne vous avisez pas de le voler. Egalement, s'il s'intéresse à quelque chose qui vous appartient, donner le lui avant qu'il ne vous le prenne de force."
Paragraphe 7; Chap. 5 Etude des êtres fantastiques, Frère Agrève
Niveau de dangerosité : Estimée au Niv.3
Pouvoirs possibles "Il a dans sa gueule une glande produisant un venin si acide qu'il fait fondre les pierres, il faut d'ailleurs faire très attention, il a la capacité de le projeter sur sa cible. Comme il a grandi dans le brasier des enfers, sa peau est si chaude qu'elle peut déclencher des incendies."
Paragraphe 3; Chap. 5 Etude des êtres fantastiques, Frère Agrève
Environnement propice à sa croissance D'après les récits, certains théoriciens pensent que le Basilic noir a besoin d'un endroit très chaud pour grandir, d'autres pensent qu'au contraire, il lui faut un endroit frai et humide.
Répartition Autrefois présent sur presque tout Argeya, cela fait plusieurs siècles qu'on en trouve plus que dans la Tourbe aux serpents. Cependant, aucun individu n'a pu être aperçu depuis des dizaines d'années
Reproduction Informations manquantes.
Régime alimentaire "Il se nourrit de tout ce qu'il trouve du moment que ça bouge, il est d'ailleurs fort probablement qu'il ne voit que ce qui est en mouvement. Il peut dévorer des troupeaux entiers ou décimer des villages en très peu de temps. Il faut cependant noter qu'il est très friand de poissons et de grenouilles. Certaines personnes en déposent d'ailleurs régulièrement près de leur maison pour que le dragon les laisse tranquille."
Paragraphe 7; Chap. 5 Etude des êtres fantastiques, Frère Agrève
Statut de l'espèce (M) Menacé Ce statut peut évoluer pour (ED) En danger critique d'extinction dans les années à venir, le sujet est en cours de discussion.
Quelques éléments du dossier:
File1: Statuette retrouvée chez un brocanteur, authenticité mise en doute.
Les informations provienne d'une observation de Tribu Nord, elles peuvent s'avérer fausses pour les autres.
Description physique La forme des Geal Walker change énormément selon la tribu d'origine qui se caractérise surtout par la zone où elle est présente. Ceux du Nord sont probablement les massifs bien qu'ils ne soient pas les plus grands. Ils ont quatre pattes robustes faites pour détruire la glace, la roche et dans des cas plus fréquents, d'autres dragons, elles leur permettent aussi de tenir une cadence de marche élevée en plein blizzard. Leur tête est également très massive, celle des mâles sont ornées de cornes bien visible alors que celle des femelles n'ont en général que de petites excroissances osseuses discrètes. Malgré les températures extrêmes, les intempéries et leur préférence pour la marche, les Geal Walker ont des ailes et sont même de très bon voltigeur. Leur nombre varie énormément d'un individu à l'autre selon l'ascendance du dragon. Les tribus est et ouest en ont généralement que deux alors que celle du Nord quatre, un groupe d'individu avec six ailes a cependant été observé une fois, on ignore leur origine. Avec l'âge, la peau de leurs ailes se recouvre petit à petit de plumes et de long poils. Les Geal Walker ont également une longue queue touffue. Il est cependant assez rare de la voir avec sa taille d'origine, étant assez gênante pendant les combats, ils en perdent rapidement un morceau. Plus un Geal Walker garde sa queue longtemps, plus il est respecté comme étant un grand guerrier ou à l'inverse, plus il est méprisé comme étant un couard, il n'est pas rare que les jeunes dragons se sectionne eux même la queue pour prétendre s'être battu avec courage. A cause des conditions extrêmes, les Geal Walker n'ont pas d'écailles et leur peau est recouverte d'une épaisse fourrure à couche, une composé de poils morts restés prisonnier, une laineuse et une avec des poils creux. Les mâles aborde une sorte de crinière crête dans le cou, plus elle est longue et foncée, plus les femelles sont attirées. Les couleurs du pelage sont en général dans les tons blancs, gris ou d'un brun terne.
Description comportementale Les geal walker vivent en tribu et sont très sociaux entre membres du même groupe, n'hésitant pas à s'entre aider ou à provoquer des petites bagarres amicales. En général ils chassent ensemble bien qu'ils apprécient aussi le faire en solitaire pour décompresser un peu. Ces dragons sont très bagarreurs et se lancent souvent des défis pour le simple plaisir d'une démonstration de force, femelle comme mâle. Ces dragons sont très franc entre eux et n'apprécie pas les trouillards et les menteurs. Rancunier, mieux vaut pas perdre leur confiance une seule fois, certaine tribu sont en guerres depuis des siècles sans que personne ne sache plus pourquoi. Très territoriaux et très fiers, ils ne supportent pas qu'un autre dragon qu'importe la race ou une autre espèce intelligente (tel que les humains) n'entre sur leur territoire sans y être invité, d'ailleurs, chasser un intrus est récompensé dans beaucoup de tribus. L'art de la guerre est très important chez les Geal Walker et les petits sont encouragés très tôt à se battre. Manuels, ils connaissent le métier de forgeron, il paraîtrait même que les armures de ces dragons sont les plus solides de tout Argeya. Une proposition de commerce leur a d'ailleurs été envoyé par le peuple humain mais la réponse fut négative (au grand malheur de l'envoyé dont on ne retrouva que le bas du corps). Les Geal Walker sont également un peu orgueilleux et raciste. La plupart des membres de cette espèce méprisent complètement toute race de dragon vivant au sud de la Mer Nordique et n'éprouve même pas le besoin de se battre avec eux pour prouver leur force. Concernant les êtres humanoïdes, la plupart ont une profonde indifférence pour eux, d'autres s'y intéresse même s'ils les voient plus comme des animaux de companies. D'ailleurs certaines tribus pratiquent l'élevage, ayant des troupeaux de Yack uniquement, les autres herbivores étant trop petits et pas assez résistants selon eux. Chaque tribu a également au moins deux ou trois loups géant qu'ils se servent comme chiens, c'est d'ailleurs la seule espèce en dehors de la leur à qui ils éprouvent un profond respect.
Niveau de dangerosité : Niv.4
Pouvoirs possibles Données insuffisante Les Geal Walker n'utilisent pas la magie. Un cas de pouvoir a été recensé cependant, celui d'avoir l’incapacité de se perdre.
Environnement propice à sa croissance Les Geal Walker ne vivent qu'en terre gelée, les très jeunes dragons cependant sont très sensibles au froids et ne quittent pas le nid avant une dizaine d'année. Les femelles ne pondent d'ailleurs pas d'oeuf comme beaucoup d'autres dragons, le foetus grandissant dans le corps de la mère. Cependant, contrairement aux mammifères, les femelles n’allaitent pas, les petits ayant le même type de croissance que les autres dragons.
Répartition Uniquement dans les Terres Gelées
Reproduction En période de chaleur, les mâles ont une crinière plus épaisses et plus foncée que le reste de l'année et n'hésitent à faire des demonstration de force entre eux pour attirer les femelles. Bien qu'ils forment un couple qui dura toute la vie des deux dragons, il n'est pas rare que les non célibataires se battent aussi pour montrer à leur dulcinée qu'ils sont toujours aussi puissants. Lorsqu'une femelle est intéressée par un mâle, elle le provoque en duel, si celui-ci gagne, elle reste avec, s'il perd, elle va en choisir un autre. Une fois le couple formé, ils construisent un nid maison dans le village de la tribu pour y élever leurs petits. La mise en couple est quelque chose de socialement très important dans les tribus, rester célibataire trop longtemps est assez mal vu.
Régime alimentaire Les Geal Walker sont carnivores, ils n'hésitent pas à chasser toute les créatures des terres gelées. Les seules qu'ils ne mangent pas sont les loups géants et les dragons. Leur proie favorites sont les hurleurs des glaciers qu'ils s'amusent à attraper en plein vol. Certains Geal Walker diront qu'ils adorent aussi les baies comme les myrtilles mais ils ne les digèrent pas, s'ils en mangent trop, ils tombent malade.
Statut de l'espèce (S) Stable Les Geal Walker ont été très longtemps au stade de (QM) quasi mennacé à cause de leur faible nombre mais des recherches très récentes ont démontré que le milieu ne permettait pas à cette espèce d'avoir beaucoup d'individu. La population a beau être plus faible que certaines espèces (QM), elle est stable.
Quelques éléments du dossier:
File1: Aquarelle abîmée retrouvé dans un rapport de recherches récent Note:Il semblerait que le dragon représenté soit celui du chercheur, celui-ci n'a cependant jamais confirmé cette théorie
Files2: Photo retrouvée dans un rapport de recherche récent Note: Un post-it a été retrouvé avec cette photo, il semblerait que ce soit une jeune femelle des tribus de l'Est. Les informations complémentaires sont cependant indéchiffrables.